Le nouveau monde automobile qui se dessine sous nos yeux avec notamment les voitures autonomes à propulsion électrique passe aussi par une mutation du réseau routier. À son tour, Le revêtement des voies de circulation ne veut plus dépendre du seul pétrole et servir ainsi la cause des translations écologiques. Une révolution qui passe par la route solaire. En France, l’expérience est en cours et a livré son premier bilan. Une portion d’un kilomètre à l’époque considérée comme la plus longue du monde. Mais ça, c’était avant que la Chine ne s’éveille…
Cette annonce faite lors du dernier jour de cette année 2017 confirme que l’exercice 2018 qui va s’enchaîner sera un nouvel assaut contre l’automobile à moteur thermique telle que nous la connaissons depuis ses origines. L’écologie punitive tourne à l’inquisition, la pression fiscale à la pompe va s’accentuer, et, d’ailleurs, ce qui sera mis dedans ne sera plus l’affaire de l’État sous peu. Car la France est devenue samedi le premier pays développé à programmer la fin de la recherche et de l'exploitation des hydrocarbures.
En plein psychodrame sur les limitations de vitesse à 80 km/h sur le réseau national, Caradisiac revient sur diverses prises de positions pas toujours très cohérentes de nos responsables politiques.
Récemment, Matthias Müller, patron du groupe Volkswagen, annonçait le divorce du géant allemand avec le diesel, l'intéressé demandant carrément la fin des avantages fiscaux du gazole. Le numéro un de BMW n'a pas tardé à réagir et s'oppose fermement à cette stratégie.
Une start-up anglaise, pilotée sur ce projet par le groupe Jaguar Land Rover, annonce avoir développé un système capable de récupérer de l'énergie par les gaz d'échappement et la chaleur dégagée. Les Britanniques parlent d'un gain final de consommation de l'ordre de 5 %.
Le constructeur le plus écoresponsable selon les Américains de Newsweek n'est pas celui que vous croyez. Tesla n'arrive pas en tête de ce classement, la marque américaine étant même très loin dans le classement. Le meilleur dans le secteur de l'automobile n'est autre que Toyota. Daimler arrive plus loin derrière.
L'industrie automobile japonaise a une particularité bien à elle depuis quelques mois : des alliances et des partenariats dans tous les sens, que l'on soit concurrent ou pas. Ce fut le cas récemment entre Toyota et Suzuki qui veulent investir dans l'électrique low cost pour l'Inde. Suzuki serait aussi intéressé par un approvisionnement en batteries dans le cadre des futurs développements de Toyota-Panasonic.
Il faudra bientôt parler d'électrification à différents échelons chez Mercedes (hybride, hybride rechargeable et électrique), qui s'apprête à mettre des batteries dans l'ensemble de ses modèles d'ici 2025 pour tenter de passer sous la barrière imposée par l'Europe en ce qui concerne la moyenne d'émission de CO2. Mais pour le chef du développement de Mercedes, le défi est extrêmement compliqué.
C’est un nouveau signe qui confirme les intentions chinoises d’électrifier son marché automobile. Il s’agit du premier mondial et les autorités y ont annoncé, en septembre dernier, qu’elles allaient préparer "un calendrier" vers "une interdiction" de la production et de la vente de voitures à carburants fossiles. Un rêve éveillé, un pari fou ? Que nenni, le courant est lancé et cette dernière nouvelle devrait convaincre les derniers sceptiques sur une ambition électrique assumée dans l’empire du milieu.
Deux ans après la COP21, Paris accueille à nouveau un sommet international sur le climat. L'occasion pour de nombreux politiques du monde entier de se réunir et de discuter de l'avenir de l'environnement. Certains ont voulu justement marquer le coup, comme l'ancien Sénateur Arnold Schwarzenegger, qui a rejoint Anne Hidalgo à vélo. Vert, évidemment.
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