L’électrification des gammes des constructeurs automobiles est un sujet on ne peut plus stratégique dans un contexte où les politiques bouleversent le marché par des réglementations mettant à mal la suprématie du moteur thermique. Le cours de l’histoire change. Il n’est plus une marque de voitures qui n’annonce prendre date en présentant des plans assurant une offre électrique conséquente à court terme, à des consommateurs pratiquement déjà convertis. Certes, mais pour aller à la guerre, il faut que l’intendance suive. Ici comme ailleurs. Cette intendance s’appelle dans ce cas batterie lithium ion qui a besoin du Cobalt pour faire son office. C’est le pétrole de demain et les constructeurs cherchent absolument à s’en assurer la fourniture. Ce qui n’est pas si simple…
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Les constructeurs allemands préparent une énorme offensive de voitures électriques, avec des prévisions à plusieurs millions d'autos sur les routes d'ici la prochaine décennie. Et la prochaine décennie, c'est demain ! Malheureusement, le pays n'est pas du tout prêt à cette invasion, avec une borne de recharge pour... 53 000 habitants.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, en a remis un coup dans le pare-chocs : plus une seule voiture thermique ne sera acceptée dans la capitale en 2030. Ne circuleront plus, outre les bus de la RATP, que des vélos et des voitures électriques. Préparez-vous à rouler en chinoise…
C’est le genre de nouvelle qui ne fait qu’accélérer le courant vers le véhicule électrique. Ce dernier ne pourra véritablement transformer son taux de sympathie parmi les conducteurs en parts de marché et combler les objectifs des politiques mises en place pour son avènement qu’à l’unique condition de voir le problème de l’autonomie résolue. On y travaille chez les fabricants de batteries qui augmentent leurs performances en la matière. Mais il faut aussi des bornes de recharges disponibles partout. Comme les stations-service d’aujourd’hui. Justement, les pétroliers ont décidé de se faire électricien. Ou presque.
La Norvège est l'un des premiers marchés mondiaux pour la voiture électrique, et ceci est en parti dû aux énormes avantages laissés à ce type d'auto (stationnement, gratuité de certains services), mais aussi aux aides conséquentes à l'achat. Le gouvernement souhaite toutefois les réduire.
L’électrique, encore et toujours. Le courant ne baisse pas pour ce type de véhicule qui s’annonce comme incontournable pour qui veut éclairer le marché du transport de la personne de la prochaine décennie. Des personnes et des marchandises. Car les poids lourds sont aussi de la partie. La preuve avec Volkswagen qui annonce un plan d’investissement conséquent pour créer le camion de demain.
Avant de vous enflammer à la lecture du titre de l'article, sachez d'ores et déjà que l'auto n'est pas à vendre. Il s'agit d'un concept (certes, très réaliste !) de Cayman Type 981 ayant troqué son six cylindres boxer contre un moteur électrique propulsant le coupé à 100 km/h en seulement 3,3 secondes.
Nous sommes bientôt en 2018 et la première voiture électrique "de masse" a vu le jour il y a presque dix ans. Depuis, les prix ont certes chuté, mais il reste encore beaucoup de terrain à couvrir pour ce mode de transport avant d'être démocratisé. Le patron du groupe Fiat, lui, n'y croit toujours pas.
Une batterie, ça n’a rien de très sexy. Et pourtant, c’est bien d’elle dont on va de plus en plus parler. C’est aussi elle qui va séduire, attirer toutes les attentions et en faire craquer plus d’un. Car c’est elle qui va permettre aux véhicules électriques de se mouvoir. Sans elles, point de révolution poussant la mécanique thermique à la casse. Un revirement que Toshiba a compris. En présentant sa nouvelle batterie, l’enseigne japonaise se veut incontournable.
Ventes : la Zoé booste toujours le marché des électriques, record pour les hybrides rechargeables
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Sur les trois premiers trimestres, les immatriculations de voitures électriques ont progressé de 16 % en France. Cela s'explique avant tout par le succès de la nouvelle Zoé ZE 40. Du côté des plug-in, le cumul janvier-septembre est déjà supérieur au résultat total de 2016.