Vinci Autoroutes a récemment détaillé à une poignée de médias ses axes de reflexion pour une mobilité décarbonée sur le grand ruban. Le but est louable, les ambitions élevées, mais le tout suppose des investissements pour le moins conséquents.
Ticket vers la liberté, emblème de l’industrie, source d’amour et de passion, la voiture n’est plus que l’ombre de sa carrosserie. Nous avons tenté d’imaginer la vie sans elle au cœur des villes. Juste comme ça, juste pour voir.
De plus en plus de bornes déployées, une offre qui se diversifie chez les constructeurs, et des utilisateurs séduits : la voiture électrique pousse peu à peu ses pions. Pour autant, de nombreux freins à son développement se dressent encore, à la fois financiers, sociétaux, industriels et tout simplement techniques. Etat des lieux.
Jusqu'ici, elle le suggérait du bout des lèvres, mais hier, au détour d'une phrase, la ministre de la transition écologique a affirmé que la France devait elle aussi prendre sa part dans la nouvelle ruée vers l'or vert qu'est le lithium. D'autant que l'hexagone regorgerait de ce minerai désormais essentiel.
Dévoilée au printemps 2021, la volonté de sanctuariser le centre de Paris avec la « Zone apaisée Paris-Centre-Saint-Germain » va nécessiter un délai avant sa mise en application. Prévu pour 2022, le projet est d’ores et déjà reporté à 2024.
Plusieurs agglomérations qui ont mis en place une ZFE vont accorder une dérogation aux véhicules de collection, des modèles qui ont plus de 30 ans.
Les résultats d'une consultation citoyenne montrent que l'interdiction de la voiture en ville n'est pas si rejetée, 38 % des votants y étant favorables.
Avec la fin du télétravail obligatoire, les automobilistes franciliens ressortent leur voiture du garage le matin pour aller travailler. Ce qui n'est pas une bonne nouvelle pour la qualité de l'air.
La métropole du Grand Paris vient de repousser l'interdiction des Crit'Air 3. D'autres métropoles en France commencent à dérouler leur calendrier.
Difficile de dire s'il faut s'en féliciter ou s'en plaindre, si ce n'est "que" 91 % ou si c'est en fait énorme, toujours est-il que les bonus et primes à la conversion versés depuis l'année 2018 représentent 91 % des objectifs que s'était fixés l'administration avant la fin du quinquennat. Les 100 % seront probablement atteints, voire dépassés.
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