La fin d’année est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro. Chaque jour pendant cette période des fêtes, les journalistes de la rédaction de Caradisiac vous font part de leurs enthousiasmes et de leurs coups de griffes. Aujourd’hui, Alan Froli, journaliste-essayeur, vous donne son top/flop 2023.
Le nouveau haut de gamme électrique de Nio s'attaque au haut du panier allemand, Mercedes EQS et BMW i7 en tête. Avec une technologie de batterie très avancée et des capacités de charge record sur le papier.
C'est à la fois beaucoup, et peu. Selon une toute récente étude allemande, il faut parcourir en moyenne au moins 90 000 km pour qu'une voiture électrique "efface" son bilan écologique de fabrication défavorable par rapport à une thermique. Et sur sa durée de vie totale, le bilan serait toujours très favorable.
La version sportive de la Volkswagen ID.2 électrique arrivera en 2026. Elle s'attaquera à l'Alpine A290 dans cette nouvelle catégorie de citadines à haute puissance.
Non seulement moins de voitures électriques seront éligibles au bonus écologique en cette année 2024, mais le montant maximal de ce bonus va lui aussi se réduire pour les Français qui ne font pas partie des plus pauvres.
En raison du succès très moyen de ses modèles électriques actuels, le constructeur allemand revoit ses plans et va davantage miser que prévu sur les véhicules thermiques dans les années à venir.
Utiliser une batterie de voiture usagée comme source d’énergie pour alimenter sa maison ou divers objets électriques, c’est le projet ABR, issu d'un consortium d'entreprises bretonnes.
Le pick-up Tesla Cybertruck pourra-t-il un jour naviguer comme un bateau ? C'est en tout cas ce qu'il se raconte sur les réseaux sociaux. Une idée également évoquée par Elon Musk lui-même.
Ecartée du bonus écologique français et mal vue par les dirigeants européens, la marque BYD va construire une usine en Hongrie pour éviter toute possibilité de sanction économique à l'égard des modèles chinois.
L'autonomie, c'est le nerf de la guerre des électriques. Sauf que dans la "vraie vie", on est souvent loin des valeurs relevées lors de l'homologation WLTP. Surtout lorsque l'on évolue sur voies rapides, où la consommation grimpe en flèche, et où l'on recharge rarement plus de 80 % de la batterie, les ravitaillements s'éternisant au-delà. Pour y voir plus clair, Caradisiac vous révèle ses propres mesures, temps de charge compris. Aujourd'hui, l'Opel Astra Electric, qui hélas a fait les frais d'une monte pneumatique hivernale.