PSA a signé un accord avec quatre organisations syndicales. Il prévoit la mise en place d'un protocole sanitaire pour redémarrer la production, une solidarité financière des cadres pour maintenir les paies et un ajustement des congés d'été.
Même si l'industrie automobile est très perturbée par le coronavirus, Renault et Nissan comptent dévoiler comme prévu leurs nouveaux plans stratégiques le mois prochain.
Comme souvent dans les périodes difficiles, voire tragiques pour certains d’entre nous, apparaissent des initiatives positives. Après trois semaines de « bad news », Caradisiac a voulu mettre en évidence les beaux gestes réalisés par le milieu automobile pour améliorer la vie des autres, et continuer ainsi de faire « rouler » une société à l’arrêt.
L'industrie automobile française a défini des bonnes pratiques avec l'idée de jouer collectif "pour résister à l’onde de choc économique et créer les conditions du redémarrage de l’appareil industriel" après le coronavirus.
Selon nos informations, les constructeurs se sont mis d'accord pour demander officiellement le report de la mise en place de la réglementation CAFE, qui doit sanctionner à partir de 2021 les mauvais élèves des rejets de CO2.
Le Président Macron a annoncé ce matin l'objectif de production de 10 000 respirateurs artificiels d'ici la mi-mai. Pour y parvenir, un consortium impliquant PSA, Air Liquide, Valeo et Schneider Electric s'apprête à relever un incroyable défi industriel.
Faire front face au Coronavirus : voici le leitmotiv de la plupart des entreprises qui veulent participer à la lutte contre la pandémie mondiale. Après Tesla, General Motors et bien d'autres, c'est au tour de Renault et PSA (Peugeot/Citroën) de s'engager dans la fabrication de respirateurs artificiels.
PSA planche sur un calendrier de reprise de sa production, avec la mise en place de nombreuses mesures sanitaires pour assurer un redémarrage "sécurisé".
La Fédérations des Industries des Équipements pour Véhicules (FIEV) a participé mercredi 25 mars au comité stratégique de filière automobile. L'occasion pour elle de passer un message fort sur la volonté des équipementiers de lancer un "pacte de relocalisation", mais aussi de demander des garanties au gouvernement pour la bonne application des mesures de chômage partiel.
Selon Les Échos, le conglomérat Mitsubishi Corp pourrait entrer au capital de Renault, à hauteur de 10 %. Une opération qui vise à renforcer et apaiser les liens dans l'Alliance.
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