Le catalogue Dacia est actuellement réduit à peau de chagrin : Sandero, Duster et Lodgy. La marque roumaine a en effet fait le ménage en retirant la Logan (qui ne reviendra pas en France), mais aussi le Dokker. Ce dernier a, lui, un avenir dans l'Hexagone.
Elle défend d'habitude le monde du vivant, mais elle a décidé cette fois de s'attaquer à l'automobile, ou plus particulièrement aux SUV : l'ONG WWF qualifie cette carrosserie de fléau, aussi bien pour l'environnement que pour le portefeuille des automobilistes.
En 15 ans, le SUV est passé de niche pour certains clients aisés à une véritable démocratisation. Au point d'atteindre des parts de marché qui laissent entrevoir la moitié du marché européen. En septembre, le SUV a compté pour 41 % des ventes totales de voitures neuves en Europe.
Tesla en route pour sa première année à un demi-million de véhicules livrés ? Cela s'annonce très difficile, même si la marque a réalisé un joli troisième trimestre, à 139 000 unités.
La Commission européenne a fixé la date du 2 février 2021 comme échéance pour un éventuel feu vert au mariage entre les groupes PSA et Fiat Chrysler (FCA). D'ici là, les deux camps forment leurs équipes.
Les ventes de voitures neuves ont reculé de 3 % en septembre. Peugeot brille avec ses nouveautés, alors que ça coince encore chez Renault. Dacia est en grande forme.
Des discussions au sein du groupe Volkswagen auraient lieu sur la place des marques de prestige, qui vont demander d'importants investissements pour passer à l'électrique... sans assurance de convaincre les clients, peut-être un peu trop habitués aux gros moteurs thermiques.
L'industrie pétrolière connaît une année 2020 très difficile. Shell, le pétrolier néerlandais, compte licencier entre 7000 et 9000 personnes face à la baisse mondiale de la demande.
Après Citroën ou encore Alpine, voilà Kia qui annonce l'arrivée prochaine de la location courte durée en France. Une offre déjà proposée sur d'autres marchés et qui débarque dans l'Hexagone. Le principe : pouvoir louer facilement une Kia chez un concessionnaire de la marque.
Les sénateurs ne font que répéter ce que l'on savait déjà : les sociétés d'autoroutes dites historiques, celles qui gèrent plus de 90 % du réseau concédé, sont une véritable manne financière pour leurs actionnaires. Mais ils le font avec de vrais chiffres, bien concrets… De quoi donner le tournis ! Plus de 27 milliards et demi d'euros de dividendes ont déjà été encaissés, et ce serait encore plus de 40 milliards attendus d'ici la fin des contrats, entre 2031 et 2036 ! À l'appui de ce constat, les parlementaires appellent l'État à négocier avec ces sociétés de nouveaux investissements "dont pourraient bénéficier les usagers sans nouvelles augmentations tarifaires". Et pour stopper net le fiasco ? Les sénateurs n'émettent aucune proposition en ce sens. Pour eux, une renationalisation aurait "un coût prohibitif".
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