
Le De Tomaso Deauville de nouvelle génération montrée pour la première fois à Genève n'a pas soulevé la vague de louanges escomptée. Outre le rapprochement peu avantageux avec la première du nom, il faut bien admettre que de la coupe aux lèvres (soit des dessins à la voiture de série), il y a un gouffre. Pourtant, il ne manque pas grand chose pour la rendre un minimum séduisante, voici la vision réparatrice du manipulateur automobile Théophilus Chin.