Cela faisait des années que nous n’avions pas entendu parler du Vectrix, si bien qu’on aurait pu croire qu’ils avaient disparus de la surface du marché du deux-roues Français. Importé en 2008, c’est pourtant l’un des précurseurs du scooter électrique chez nous. Il est donc temps de découvrir ou de redécouvrir le VX1.
Toute l'actualité Salon
Tout doucement, la moto électrique commence à s’installer dans le milieu de la compétition. C’est beaucoup plus flagrant dans l’automobile avec par exemple le Trophée Andros, mais ce nouveau genre de deux-roues commence à s’imposer chez les Pro. Et ce n’est pas Bastien Hieyte, pilote Trial qui nous dira le contraire.
Le Salon de Val d’Isère, c’est aussi l’occasion de venir voir ce qui se fait dans le domaine de l’électrique, mais aussi de pouvoir les essayer. Et là où en voiture, il n’y a que quelques modèles à l’essai, pour la moto, c’est comme qui dirait « open bar ». Et pour être sûr que vous ne seriez pas déçu en faisant le déplacement, nous sommes allés vérifier pour vous que les marques se prêtent au jeu.
C’est probablement la machine la plus improbable de ce salon de Val d’Isère 2017. Estampillé et distribué sous la marque de pneus Good Year, l’Ego 2 est un scooter 3 roues avec système de suspensions articulées à l’image du Piaggio MP3 ou du Peugeot Métropolis. Rien de neuf me direz-vous ? Sauf que dans ce cas, il est en tout électrique et sort tout droit d’une boîte de Playmobil.
Quand on parle de motos électriques comment ne pas oublier la gamme E-Ride de chez KTM. 3 machines, 3 usages mais la même base de travail : le moteur synchrone à aimant permanent structure rotor disque. Un terme un peu barbare pour parler d’un engin développé par la marque et qui propulse le pilote à 42 Nm sur tous les types de terrains.
Cette marque ne vous dit probablement rien et c’est normal. C’est une firme chinoise de Hong Kong qui a décidé de conquérir des grandes villes françaises comme Paris ou Lyon en s’attaquant au marché de l’électrique courant de l’été 2016. Et le fabriquant est déjà bien rodé puisqu’ils ont bénéficié d’une levée de fond de 60 millions de dollars qui permettent la mise sur le marché de son scooter électrique. Présentation.
Présenté pour la première fois en 2013 sur le salon de Milan, le C Évolution est apparu au public sous forme de prototype. Après un gros travail de fond sur l’ergonomie et l’autonomie, les allemands ont voulu offrir aux motards une alternative aux déplacements urbain mais avec un scooter ressemblant à un maxi-scooter (et le confort qui va avec et pas à une machine se rapprochant d’un gabarit de Solex.
Tout comme Autolib et Vélib, la ville de Paris bénéficie également d’un service de partage de deux-roues pour les pro et les particuliers. En échange d’un abonnement mensuel ou d'une location au temps, chaque personne peut bénéficier d’un scooter électrique, en partage, pour arpenter les rues de la capitale. Pour ce projet la marque Govecs et Pink Mobility qui ont été choisis pour les véhicules électrique. Nous vous présentons donc celui qui représente la marque dans ce système de partage : le Up.
Santa Cruz en Californie, il y a 11 ans maintenant, naissait une marque tournée vers l’avenir et la transition énergétique. Zéro comme zéro émission, et motorcycles pour donner une vraie alternative aux motards d’aujourd’hui. Car oui en France, la plupart des machines proposées sur le marché dépassent rarement l’équivalence d’un 125 cm3. Bienvenue dans le monde du gros cube à 0 émission.
Askoll fait parti de ces marques qui ne fabriquent que de l’électrique, que ce soit du vélo ou du scooter. La marque met en avant pour ses produits le coût moyen en essence par Français (environ 1 000 euros) et le kilométrage moyen parcouru par jour, soit 12 km. Une distance facilement réalisable avec un scooter au quotidien, surtout en ville. Le constructeur propose donc une alternative à ceux qui ont un petit trajet à faire pour aller au boulot.