Tout au long de l’été, la Route de nuit va sillonner notre histoire contemporaine. Chaque semaine, nous évoquerons une voiture qui a été intimement liée à l’Histoire avec un grand « H ».
Dix ans avant le miracle de l’Alpine A110 moderne, Renault avait failli faire renaître sa marque de sport avec une GT basée sur la Nissan 350Z. A l’époque, les dirigeants ont finalement préféré l’annuler.
Profitez de l’été pour découvrir à Mulhouse cette formidable collection réunie par les frères Schlumpf, totalisant plus de 400 voitures. En attendant, voici son histoire édifiante.
Mercedes-Benz 250 S – 300 SEL 6.3 (1965 – 1972), quand Classe S rimait avec finesse, dès 13 000 €
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Quand une grande Mercedes concilie avec maestria finesse esthétique, raffinement mécanique et habitacle magique, cela donne le duo W108/109. Après lui, les hauts de gamme à l’étoile perdront nettement en élégance, au profit d’une obsession sécuritaire. Et pourquoi ne pas s’offrir un peu de l’insouciance des sixties ?
Sous ses airs de joli petit Mercedes Classe G, le Suzuki Jimny peut transformer le moindre trajet routier en expérience douloureuse. Il illustre aussi parfaitement la mauvaise foi et la schizophrénie des journalistes automobiles...
Pas besoin de vider son PEL pour profiter de la douceur des soirs d’été dans une découvrable luxueuse : l’Audi A4 Cabriolet procure bien des plaisirs à prix modique, tout en affichant une belle fiabilité. A condition de bien l’acheter, naturellement.
Vous devrez signer un chèque de presque 20 000 euros pour acquérir cette réplique à l’échelle 1/8 d’Aston Martin DB5 signée Amalgam Collection. L’entreprise spécialiste des miniatures justifie ce tarif proche de celui d’une Polo neuve par un soucis du détail poussé à l'extrême.
Un formidable podcast en quatre épisodes d'une heure chacun est disponible sur le site de France Culture et sur toutes les plateformes. L'occasion d'occuper les longs moments de bouchons, même de ceux qui pensent tout savoir de l'histoire de l'automobile.
Pendant sept petites années, un ingénieur espagnol a voulu provoquer Enzo Ferrari. L’homme a échoué, mais il a laissé quatre-vingt-quatre objets précieux, des chefs-d’œuvre de style et de technologie.
Il y a une décennie, Fiat voulait vendre une toute nouvelle citadine au style très inspiré de la 500. La marque y a finalement renoncé, estimant que l’investissement n’en valait pas la chandelle.
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