
Même chez Ferrari, il existe des modèles maudits. Comme cette Mondial qui, de 1982 à 1993 a essuyé quelques joyeux quolibets. Ses lignes déséquilibrées liées à sa curieuse architecture, à ses finitions très moyennes et à son efficacité pas vraiment au-dessus du lot ont eu raison d'elle. Mais 50 ans après sa naissance chaotique, elle a un gros avantage : son prix, tant au niveau de l'achat que de l'entretien.