À quoi peut bien servir de dégonfler les pneus des SUV ? Est-ce à des militants écologistes de régir le parc automobile ? Ou à l’État qui a laissé pulluler ces engins inutilement gros et lourds, polluants et dangereux ?
Jean Savary
Lui écrireL’industrie automobile française (et européenne) réussira-t-elle sa conversion à la motorisation électrique ? La semaine dernière, l’actualité avait de quoi rendre optimiste. Mais prudence, il ne faut pas que la voiture électrique nous convertisse trop vite.
La prochaine grande Renault aura un nom d’avion de chasse. Mais pas celui que vous croyez : c’est dans les vieux Caudron que le losange cherche désormais son inspiration.
Les chiffres du marché de la voiture électrique ne sont pas rassurants. Nos constructeurs français et européens sont-ils en train de se faire prendre en tenaille entre LA marque américaine et les constructeurs chinois ?
À partir du 1er janvier prochain, le ministre de l’Intérieur – et de la Sécurité routière – nous fera grâce du point perdu pour les excès de moins de 5 km/h. Un cadeau qui va rapporter gros à l’État. Et, je le parie, coûter cher à la société.
En obtenant de l’Europe le joker du e-fuel, l'Allemagne a levé son veto au 100 % de voitures neuves électriques en 2035 : ce sera 99,9 % en fait. Reste à éviter que le VE ne devienne un cauchemar énergétique et environnemental.
L'Allemagne vient de briser le consensus européen sur un marché automobile à 100 % électrique en 2035. Elle veut laisser la voie ouverte au moteur thermique fonctionnant aux carburants de synthèse zéro carbone.
La marque « Entry » de Renault s’embourgeoise avec des prix en hausse continue et de nouvelles finitions à boutons dorés. Et cela alors que le cœur de sa clientèle subit de plein fouet l’inflation des prix de l’alimentation et de l’énergie. La bonne tactique ?
Ce drame doit-il déboucher sur un nouvel article du Code de la route ? Ou inciter à se poser d’autres questions. Pourquoi la consommation de cocaïne augmente-t-elle ?
Permis B, un centenaire qui bizute les jeunes
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Le permis de conduire vient d’avoir cent ans. De plus en plus longue, coûteuse et complexe, son obtention est devenue le grand bizutage de la jeunesse. Sans aucun effet sur la mortalité des conducteurs novices.