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L' ex-directeur général du groupe Stellantis va toucher une rémunération de 23 millions d'euros pour l'exercice 2024. Un salaire en baisse de 37 % en raison des mauvais réultats du groupe.
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L' ex-directeur général du groupe Stellantis va toucher une rémunération de 23 millions d'euros pour l'exercice 2024. Un salaire en baisse de 37 % en raison des mauvais réultats du groupe.
L'INFO DU JOUR - Avec un bénéfice en baisse de 70% et une marge opérationnelle en chute libre, le groupe de 14 marques prend acte d'une année 2024 particulièrement difficile. Pour autant, la galaxie dispose toujours d'un bénéfice de plus de 5 milliards d'euros et reste à même de redresser la barre avec un nouveau patron en plus et, sans doute, une ou plusieurs marques en moins.
Moins de deux mois après son départ, la politique de gouvernance de Stellantis a tellement changé que l'on en vient à oublier celui qui, pendant des années, était au centre des débats automobilico-économiques.
Deux jours après l'éviction du directeur général de Stellantis, les spéculations sur ses indemnités de départ vont bon train. Quel que soit le montant, la somme ne devrait pas être en deçà de 3,9 millions d'euros, et pourrait atteindre beaucoup plus.
Le départ du boss de la galaxie de 14 marques (voir 15 avec Leapmotor) est désormais acté. Mais quel sera le prochain épisode de la saga du 4e constructeur mondial ? Qui en sera le capitaine avec quelles ambitions, et quels éventuels renoncements ? Tentatives de réponses.
L'INFO DU JOUR - Le groupe franco-américano-italien prévient les marchés : sa marge opérationnelle pourrait être divisée par deux cette année par rapport aux précédentes prévisions. Une baisse liée à la chute des ventes en Europe, mais surtout au trou d'air que traverse ses marques américaines;
Grogne syndicale, ventes en bernes, rumeurs de cession : pour Stellantis, l’été américain n’a pas été au beau fixe. De quoi susciter des inquiétudes à la tête du groupe, puisque les marques US sont les premiers pourvoyeurs de profit de la galaxie.
Plus d’un million de véhicules arborant un logo du défunt groupe Chrysler va devoir repasser en atelier. Presque la moitié de ce contingent est de marque Jeep.
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Reculade sur la date butoire de ventes de thermiques, interdiction d'importer du graphite chinois pour les batteries américaines alors que les autos de l'empire du milieu peuvent bénéficier d'une subvention si elles sont louées : la politique américaine est dans le flou artistique en matière de VE. Un sujet au centre des discussions d'ici l'élection du mois de novembre.
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