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Commentaires - Jean Panhard n'est plus

Antoine Dufeu , mis à jour

Jean Panhard n'est plus

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Par

Quand je pense que Citroen a racheté cette marque juste que pour ses bureau a Paris...

Par

5 jours après la disparition du jeune homme... Cara se réveille...

Par Anonyme

"Jean Panhard, qui fut à l’origine du musée automobile national de Mulhouse"

Vous vous fichez du monde en écrivant cela !

Par Anonyme

le coupé de l'illustration de l'article avec son deux cylindres.....c'est juste beau.....comme toujours en france dès qu'il y a du génie, i a les mange-merdes pour tout casser

Par Anonyme

"Quand je pense que Citroen a racheté cette marque juste que pour ses bureau a Paris..."

Il faut arrêter de dire des âneries, à cette époque c'était déjà la propriété de michelin, je ne pense pas que les auvergnats ont rachetés cette boite simplement pour quelques pierres !

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Par

En réponse à Anonyme

le coupé de l'illustration de l'article avec son deux cylindres.....c'est juste beau.....comme toujours en france dès qu'il y a du génie, i a les mange-merdes pour tout casser

   

Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot...

Par Anonyme

Dommage d'avoir placardisé cette marque, Panhard avait également l'avantage d'avoir un nom sonnant "international", tout en faisant français.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot...

   

Ca t'arrive d'être heureux ?

Par Anonyme

à 20h05, et non!

Jean Panhard a fait de la collection Schlumpf, un musée officielle, grâce à la création d'une association!

cf Wikipédia

C'est un grand Monsieur de l'automobile française qui vient de partir... (((

Par §Et 638Dz

En réponse à roc et gravillon

Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot...

   

"Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot..."

Faut vraiement ne rien connaitre à Panhard et à l'histoire automobile d'apres guerre pour sortir une telle connerie.

Sans ce bicylindre Panhard aurait tout simplement disparue peut de temps apres la guerre, comme ces concurents des années folles, Talbot, Delahaie, Delage, Hotchkiss, Salmson et d'autres glorieuses marques Francaises.

Panhard à compris que l'automobile de grand luxe construite souvent sur mesure en France etait vouée à disparaitre.

Disparition d'autant plus certaine que le plan Pons otait à la marque l'acier necessaire à la construcion d'auto.

DU coup il a essayé de transformée une usine de produit de luxe

en chaine de montage "Fordiste" le tout sans moyen dans un cadre (l'usine) parfaitement inadapté.

Pour y arrivé Panhard comptait sur une tradition de voitures à la pointe de la technologie. Ainsi l’efficacité moteur, les matériaux legés et l'érodynamique seront les fers de lance des Panhard d'apres guerre.

Le bycilindre Panhard etait à la limite technique de ce que pouvait produire l'entreprise, mais l'idée c'est d'utiliser cette meme base mecanique pour motorisé les engins militaires de la marque.

C'etait largement la mecanique de grandes serie la plus evolué que l'on ai jamais produit en France jusqu'au moins...le moteur transversal tout alliage à arbre à came en tete des 204 Peugeot.

Cette mecanique a gagné un nombre impressionnant de victoire en competition,

sur circuit comme sur route.

Certe elle n'avait pas la fiabilité du moteur d'une 11 Citroen ou d'une 203.

mais c'etait avant tout à cause des rigueurs et de la competence des mecano de l'immediate apres guerre...

Par §bze020bz

En réponse à roc et gravillon

5 jours après la disparition du jeune homme... Cara se réveille...

   

Pour l'heure, je l'apprends sur cara ...pas (encore) vu d'article ailleurs sur le sujet. Alors, justemant... : bravo caradisiac.

Par §bze020bz

Pendant mon service militaire en temps que pilote AMX 10 il me semble que le moteur était un Panhard. Une grande marque.

Par

En réponse à §Et 638Dz

"Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot..."

Faut vraiement ne rien connaitre à Panhard et à l'histoire automobile d'apres guerre pour sortir une telle connerie.

Sans ce bicylindre Panhard aurait tout simplement disparue peut de temps apres la guerre, comme ces concurents des années folles, Talbot, Delahaie, Delage, Hotchkiss, Salmson et d'autres glorieuses marques Francaises.

Panhard à compris que l'automobile de grand luxe construite souvent sur mesure en France etait vouée à disparaitre.

Disparition d'autant plus certaine que le plan Pons otait à la marque l'acier necessaire à la construcion d'auto.

DU coup il a essayé de transformée une usine de produit de luxe

en chaine de montage "Fordiste" le tout sans moyen dans un cadre (l'usine) parfaitement inadapté.

Pour y arrivé Panhard comptait sur une tradition de voitures à la pointe de la technologie. Ainsi l’efficacité moteur, les matériaux legés et l'érodynamique seront les fers de lance des Panhard d'apres guerre.

Le bycilindre Panhard etait à la limite technique de ce que pouvait produire l'entreprise, mais l'idée c'est d'utiliser cette meme base mecanique pour motorisé les engins militaires de la marque.

C'etait largement la mecanique de grandes serie la plus evolué que l'on ai jamais produit en France jusqu'au moins...le moteur transversal tout alliage à arbre à came en tete des 204 Peugeot.

Cette mecanique a gagné un nombre impressionnant de victoire en competition,

sur circuit comme sur route.

Certe elle n'avait pas la fiabilité du moteur d'une 11 Citroen ou d'une 203.

mais c'etait avant tout à cause des rigueurs et de la competence des mecano de l'immediate apres guerre...

   

Je me doutais bien qu'il y aurair au moins un maître Vergès qui viendrait nous soutenir le contraire...

" Sans ce bicylindre Panhard aurait tout simplement disparue peut de temps apres la guerre "

Et???

Je te parle de quoi ici ?

de.... 20 ans plus tard.

Et s'être arc-bouté sur cette solution ressemblant fort à une impasse a entraîné une perte progressive de clientèle : plus grand monde ne se se sentant disposé à payer plus cher que d'autres concurrentes du même segment disposant de moteurs autrement plus cohérents et d'une sonorité bien plus harmonieuse.

Car les véhicules de la marque étaient en sus proposés à des prix plus élevés que la concurrence ( du moins française puisque les véhicules importés étaient alors lourdement taxés ).

Bref, un peu un destin à la Subaru en Europe post-2010 quoi... mais la marque n'exportai alors quasiment pas ses produits.

Par Anonyme

En réponse à §Et 638Dz

"Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot..."

Faut vraiement ne rien connaitre à Panhard et à l'histoire automobile d'apres guerre pour sortir une telle connerie.

Sans ce bicylindre Panhard aurait tout simplement disparue peut de temps apres la guerre, comme ces concurents des années folles, Talbot, Delahaie, Delage, Hotchkiss, Salmson et d'autres glorieuses marques Francaises.

Panhard à compris que l'automobile de grand luxe construite souvent sur mesure en France etait vouée à disparaitre.

Disparition d'autant plus certaine que le plan Pons otait à la marque l'acier necessaire à la construcion d'auto.

DU coup il a essayé de transformée une usine de produit de luxe

en chaine de montage "Fordiste" le tout sans moyen dans un cadre (l'usine) parfaitement inadapté.

Pour y arrivé Panhard comptait sur une tradition de voitures à la pointe de la technologie. Ainsi l’efficacité moteur, les matériaux legés et l'érodynamique seront les fers de lance des Panhard d'apres guerre.

Le bycilindre Panhard etait à la limite technique de ce que pouvait produire l'entreprise, mais l'idée c'est d'utiliser cette meme base mecanique pour motorisé les engins militaires de la marque.

C'etait largement la mecanique de grandes serie la plus evolué que l'on ai jamais produit en France jusqu'au moins...le moteur transversal tout alliage à arbre à came en tete des 204 Peugeot.

Cette mecanique a gagné un nombre impressionnant de victoire en competition,

sur circuit comme sur route.

Certe elle n'avait pas la fiabilité du moteur d'une 11 Citroen ou d'une 203.

mais c'etait avant tout à cause des rigueurs et de la competence des mecano de l'immediate apres guerre...

   

en réponse à Et Vlan le 21 Juillet 2014 à 23h52

je viens de lire vos remarques plus ou moins exactes, mais le problèmes n'est pas la véracité des dires mais l’ORTHOGRAPHE! En effet, j'ai dénombré environ 15 fautes! manque les accents, de nombreux mots se terminent par "é" a lieu de "er" et il manque les trémas sur le "e" de CITROËN.

Ce problème est récurrent sur les commentaires. Merci de relire votre texte avant de le valider.

Par Anonyme

Mon grand père avait été séduit par la petite Dyna achetée en 1949 : caisse en alu, traction avant,la 4 CV était loin derrière ... Il avait été la chercher directement à l'usine Panhard comme cela se faisait à l'époque.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Si la maison Panhard ne s'était pas arc-boutée sur ce pauvre bicylindre sonore ( et si peu mélodieux), peu fiable à force de rendement au litre élevé, et peu cohérent avec un positionnement prix pas spécialement amical, la marque existerait peut être encore.

Car les modèles de la seconde partie des années 60 avaient pour le reste tout compris : lignes simples, élégantes, aérodynamique, très bonne surface vitrée, très bonne habitabilité, tableau de bord de sécurité, et bien entendu traction avant.

Beaucoup de très bon, et un gros loupé sous le capot...

   

Pauvre Roc, tu fais pitié avec ce résumé foireux pompé à droite et à gauche sur le net

Par Anonyme

Un superbe design, des motorisations un peu légère, mais quel style! Panhard était le meilleur en aérodynamique.

Par Anonyme

24 CT,PL 17 dans nos rues....LE refroidissement des bicylindres par air ....comme une 2Cv en somme.Les moteurs étaient bruyants mais ils tenaient dans le temps.Bon, c'est de l'histoire automobile d'un autre siècle, les techniques étaient encore peu évoluées par rapport à aujourd'hui, c'était de l"élémentaire" mais c'est bien que tout le monde en entende parler.

Par Anonyme

Roc a un problème avec les moteurs de moins de xx chevaux de toute façon. Sur n'importe quel article, si le moteur fait moins de 2.0l de cylindrée, et moins de 150ch, son instinct naturel lui dit de commenter que c'est nul.

Il ne comprend pas l'efficience energétique, le RPP, et l'intérêt sociétal des petits moteurs qui donnent un maximum de rendement à chaque goute d'essence.

C'est juste un imbécile.

Par Anonyme

Ah Panhard!

Que de souvenirs de jeunesse!

Les mains dans le camboui, les moteurs et les boites refaits sur une table de cuisine...et surtout une pensée pour mon ami disparu si jeune pour qui cette marque comptait tellement.

Une passion, des folies de jeunesse (comme rouler sur route ouverte un soir d'été sur la côte au milieu des touristes, avec une cd du mans qui tirait la première jusqu'au cien et crachait des flammes bleues et orange de son échappement libre)

Oui c'était une mécanique certes fragile mais avec des innovations voir des raffinements extraordinaires:

- 8 positions de chauffage avec passage des conduites dans les portes,

- des sièges réglables dans toutes les positions dont la hauteur avant arrière dans la 24, par exemple.

Et un coeur gros comme ça pour cette machine qui offrait une facilité de réparation comme je n'en ai jamais connu ailleurs.

Combien de km parcourus jusqu'au nord de la Suède à des vitesses incroyables grace à ses 100cv au litre dans un bruit d'enfer en effet pas très artistique

Il y avait de l'intelligence dans ces autos et qui sait que le GS était à la base la future Panhard quand Citroën les a racheté beauycoup parce que cette Gs avec un moteur "presque de Panhard" comme avait avoué un jour un dirigeant du double chevron, un moteur Panhard à plat mais qui voyait double et refroidissait mieux.

RIP Monsieur Panhard et merci pour mes souvenirs de jeunesse!

Par Anonyme

Pour le coup, je ne vous suis pas ; les petits bicylindres Panhard étaient des mécaniques très poussées et, comme souvent dans ce cas, requérant un peu plus d'attention que des mécaniques plus rustiques qu'on trouvait sous le capot du reste de la production française (2cv mise à part). À part le fait de pouvoir se vanter d'avoir la plus grosse (cylindrée), le moteur d'une 11, d'une Frégate d'une Aronde ou d'une 203 ne présentait guère d'intérêt comparé à celui d'une Dyna. On dit (un “on” bien renseigné) précise que les segments des moteurs Panhard ne supportaient pas bien les chocs thermiques : refroidissements trop rapides liés à des vérifications du niveau d'huile alors que le moteur était encore très chaud. Quoiqu'il en soit, je préfère le bruit rageur d'un bicylindre qui va chercher les chevaux haut dans les tours au son pesant des mécaniques concurrentes d'alors. J'ajoute qu'il y a une contradiction à se désoler de l'uniformisation générale des autos de série imposée par les normes actuelles tout en critiquant ceux qui s'acharnent (s'acharnaient) à défendre des solutions techniques différentes, au risque, parfois de se tromper mais surtout, de se confronter à l'incompréhension et à la défiance des utilisateurs. Après tout, bien avant les autres, Panhard avait inventé le Downsizing ! Les premières 7 vendues par Citroën en 1934 perdaient, paraît-il, leurs roues avant sur casse de cardans. Pourtant, il semble que, au moins pour une grande partie de la production automobile, la traction avant soit une bonne solution. Chercher des solutions techniques différentes (et dans un but autre que celui de la recherche du moindre coût de fabrication) coûte cher, mais ce qui coûte le plus cher, c'est le temps nécessaire pour gagner la confiance des acheteurs et prouver le bien-fondé de ses choix. Enfin, il est indéniable qu'après le rachat de Panhard par Citroën, le risque de concurrence interne entre celle qui deviendrait la GS et la 24 pour laquelle une version à 4 porte était dans les cartons a sans doute incité Citroën à laisser mourir Panhard…

Par

En réponse à Anonyme

Pour le coup, je ne vous suis pas ; les petits bicylindres Panhard étaient des mécaniques très poussées et, comme souvent dans ce cas, requérant un peu plus d'attention que des mécaniques plus rustiques qu'on trouvait sous le capot du reste de la production française (2cv mise à part). À part le fait de pouvoir se vanter d'avoir la plus grosse (cylindrée), le moteur d'une 11, d'une Frégate d'une Aronde ou d'une 203 ne présentait guère d'intérêt comparé à celui d'une Dyna. On dit (un “on” bien renseigné) précise que les segments des moteurs Panhard ne supportaient pas bien les chocs thermiques : refroidissements trop rapides liés à des vérifications du niveau d'huile alors que le moteur était encore très chaud. Quoiqu'il en soit, je préfère le bruit rageur d'un bicylindre qui va chercher les chevaux haut dans les tours au son pesant des mécaniques concurrentes d'alors. J'ajoute qu'il y a une contradiction à se désoler de l'uniformisation générale des autos de série imposée par les normes actuelles tout en critiquant ceux qui s'acharnent (s'acharnaient) à défendre des solutions techniques différentes, au risque, parfois de se tromper mais surtout, de se confronter à l'incompréhension et à la défiance des utilisateurs. Après tout, bien avant les autres, Panhard avait inventé le Downsizing ! Les premières 7 vendues par Citroën en 1934 perdaient, paraît-il, leurs roues avant sur casse de cardans. Pourtant, il semble que, au moins pour une grande partie de la production automobile, la traction avant soit une bonne solution. Chercher des solutions techniques différentes (et dans un but autre que celui de la recherche du moindre coût de fabrication) coûte cher, mais ce qui coûte le plus cher, c'est le temps nécessaire pour gagner la confiance des acheteurs et prouver le bien-fondé de ses choix. Enfin, il est indéniable qu'après le rachat de Panhard par Citroën, le risque de concurrence interne entre celle qui deviendrait la GS et la 24 pour laquelle une version à 4 porte était dans les cartons a sans doute incité Citroën à laisser mourir Panhard…

   

Quel contraste entre les deux derniers posts et le ramassis de glaviots z'ano vus au dessus.

Oui 10h09, on peut le dire, Panhard avait bien inventé le downsizing, on peut dire ça.

Mais avec les tolérance de fabrication permises par les machine-outil de l'époque, et les huiles minérales aussi...

Avec des espacements d'entretien qui tendaient à s'espacer ( disparition progressive des points de graissage ).

Bref, on n'a jamais souvent raison à vouloir être seul dans une démarche.

Adapter le 4 cylindres à plat de la GS aurait pu en effet être une excellente solution, mais le positionnement des gammes aurait été relativement similaire...

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Quel contraste entre les deux derniers posts et le ramassis de glaviots z'ano vus au dessus.

Oui 10h09, on peut le dire, Panhard avait bien inventé le downsizing, on peut dire ça.

Mais avec les tolérance de fabrication permises par les machine-outil de l'époque, et les huiles minérales aussi...

Avec des espacements d'entretien qui tendaient à s'espacer ( disparition progressive des points de graissage ).

Bref, on n'a jamais souvent raison à vouloir être seul dans une démarche.

Adapter le 4 cylindres à plat de la GS aurait pu en effet être une excellente solution, mais le positionnement des gammes aurait été relativement similaire...

   

L' histoire de Panhard revu et corrigé par le nain de jardin....

C'est désespérant!

Si tu faisais parti des 7 nains, on ne chercherait pas ton pseudo longtemps...hein simplet.

Et en plus tu es passablement casse couille, dés que tu trouves une expression qui excite un peu ton neurone tu nous la mets à toutes les sauces, c'est ridicule; on a eu les "pue la sueur", les "gueux", maintenant c'est "tu fais ton maitre Vergés" pffft....Un peu enfantin le pauvre caillou!

Philippe, et toi l'anonyme?

Par

En réponse à Anonyme

L' histoire de Panhard revu et corrigé par le nain de jardin....

C'est désespérant!

Si tu faisais parti des 7 nains, on ne chercherait pas ton pseudo longtemps...hein simplet.

Et en plus tu es passablement casse couille, dés que tu trouves une expression qui excite un peu ton neurone tu nous la mets à toutes les sauces, c'est ridicule; on a eu les "pue la sueur", les "gueux", maintenant c'est "tu fais ton maitre Vergés" pffft....Un peu enfantin le pauvre caillou!

Philippe, et toi l'anonyme?

   

Philippe ?

Je te repasse le plat ?

https://www.youtube.com/watch?v=M9_V9Alp0f8

Bien le bonjour chez toi....

Par Anonyme

"on n'a jamais souvent raison à vouloir être seul dans une démarche."

Autant dire qu'on a tout le temps rarement tort, quoi...

Rholala, le niveau de français, mon RoGé... :lol:

Ils proposent pas des cours du soir pour remettre leurs VRP à niveau, chez VAG ?

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Philippe ?

Je te repasse le plat ?

https://www.youtube.com/watch?v=M9_V9Alp0f8

Bien le bonjour chez toi....

   

Dommage, le lien ne fonctionne pas; sinon j'imagine sans mal que nous aurions tous pu constaté ton haut niveau intellectuel.

Salut le gueux....

Par §Et 638Dz

En réponse à Anonyme

en réponse à Et Vlan le 21 Juillet 2014 à 23h52

je viens de lire vos remarques plus ou moins exactes, mais le problèmes n'est pas la véracité des dires mais l’ORTHOGRAPHE! En effet, j'ai dénombré environ 15 fautes! manque les accents, de nombreux mots se terminent par "é" a lieu de "er" et il manque les trémas sur le "e" de CITROËN.

Ce problème est récurrent sur les commentaires. Merci de relire votre texte avant de le valider.

   

"en réponse à Et Vlan le 21 Juillet 2014 à 23h52

je viens de lire vos remarques plus ou moins exactes, mais le problèmes n'est pas la véracité des dires mais l’ORTHOGRAPHE!"

Je suis bien d'accord.

Je te recommande donc à l'avenir de ne plus me lire.

Bye

Par

En réponse à Anonyme

Dommage, le lien ne fonctionne pas; sinon j'imagine sans mal que nous aurions tous pu constaté ton haut niveau intellectuel.

Salut le gueux....

   

Z'ano de 14h16.... le lien fonctionne très bien.

Faudrait passer à autre chose qu'un ordi Panhard garçon....

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Z'ano de 14h16.... le lien fonctionne très bien.

Faudrait passer à autre chose qu'un ordi Panhard garçon....

   

Toujours aussi tarte et inutile le caillou.

Par Anonyme

En réponse à roc et gravillon

Z'ano de 14h16.... le lien fonctionne très bien.

Faudrait passer à autre chose qu'un ordi Panhard garçon....

   

Mais oui mon gars, je vais m'exécuter immédiatement, je vais t'obéir...Un de mes rêves serait de t'avoir un jour en face de moi, mais ça ne restera qu'un rêve car malgré tes affirmations tu es comme tout le monde, en mode planquette. Et comme de surcroit tu es un véritable couard...

Par Anonyme

Faites nous un beau Peugeot Panhard coupé 2 portes M. Peugeot SVP !

Par §Art853uh

Bonjour, pour en avoir posséder 2, PL17 à moteur "Tigre", je peux vous dire que cette voiture était géniale, même si elle avait des défauts elle permettait de se déplacer à 5 en consomant environ 7 litres 5 , et ce en tirant dessus, je regrette aussi la disparition de la compétition de l' "Economy run", même si les consomations réalisées par des pilotes d'exeption, cela situait très bien les véhicule par rapport à leur conssomation, ce que maintenant on n'a plus .

Par §Voy880cX

Bonjour

Au fait , n'était 'il pas question de ressortir la marque Panhard ,sous la forme de limousines de luxe ,avec un nouveau logo, style cerf John Deere ?

Par

bonsoir,

comme d'habitude, dans ces forums ( fora pour les puristes)on relève d'abord des tonnes de fotes dortograf,et ,comme d'habitude aussi lorsqu'il est question de Panhard, comme d'ailleurs pour les R 25 ,on a la clique des beaufs qui viennent déféquer ...

Je note qu'il y a quelques personnes qui connaissent bien ces extraordinaires voitures,comme la personne au-dessus.

J'ai eu une floppée de Panhard ,deux PL17, deux 24 ,une BT et une CT,un cab PL 17,deux des 160 CD ( ! ),je dois en oublier...J'ai été à l'origine,avec une demie douziane d'amis de la création du premier club Panhard dont le siège était dans les Vosges,chez le regretté Grandemange...

Ces mécaniques "aux 1000 victoires" disait-on sur les pub étaient extraordinaires ,laissaient sur place la concurrence de l'époque avec une consommation ridicule.Comme l'a écrit quelqu'un, c'était du downising avant l'époque.La fiabilité était trés bonne,mais à condition de confier les réglages et l'entretien à des connaisseurs ,les bricoleurs mécanos ont fait n'importe quoi, et ont donné une mauvaise réputation.

Un de mes CD a fait l'objet d'un grand article dans le n° 67 d'auto-rétro...La cote piétinne un peu ,malgré quelques vélléités ces dernières années,sauf les modèles sports de petite série qui s'envolent,comme ,justement les CD, et les DB ..

Si vous êtes tentés d'en avoir une,n'en achetez qu'en TB état mécanique ET A CONDITION D'AVOIR PRES DE CHEZ SOI quelqu'un qui les connaît réellement !!!!

Commencez par lui demander si le cylindre gauche et le droit sont les mêmes..S'il vous dit oui,vous fuyez...

cdlt

Par

Gamin, en allant à l'école, je voyais fréquemment le matin porte des Lilas, un camion emportant 6 caisses nues de panhard CT24, c'étaitun grand émerveillement. Me suis toujours demandé ce qu'elles devenaient. Plus tard, je suis monté dans cette auto, étonné de la tenue de route en virage, pour le reste c'était vintage. Un peu une impression similaire que la NSU sprinz mais en mons vive cependant.

 

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