Voici une enquête destinée à tous les automobilistes qui empruntent les routes de la capitale. Les parisiens, bien sûr, mais aussi les conducteurs de passage. Caradisiac a sillonné les rues de Paris pour repérer les emplacements favoris des policiers, ceux où ils cachent leurs satanés radars.La parade : jouez la solidaritéLa cause est entendue : la répression des infractions liées aux limitations de vitesse est le credo n°1 du Ministère des Transports. On le comprend ! Non que cette politique soit spécialement efficace en terme de sécurité routière mais elle offre surtout des perspectives financières intéressantes : à 900 F (en moyenne) le PV on affiche des "retours sur investissements" autrement plus rapides qu’avec les PV pour stationnement ! Caradisiac avait déjà pu estimer la rentabilité d’un radar laser.Dans ce domaine, un nouvel appareil, le Line 300 pourrait bien bouleverser la donne. Seule parade pour l’automobiliste : la solidarité qui peut s’exprimer par des appels de phares. En effet, les signaux lumineux qui agacent tant les forces de l’ordre, ne peuvent être sanctionnés. Pourtant, ces dernières essaient systématiquement de verbaliser ces manifestations de solidarité sous prétexte qu’il est interdit d’utiliser les = feux de route en présence d’autres véhicules.Caradisiac vous donne le truc : faites des signaux en "feux de croisement" ! Mais vous pouvez aussi contribuer à rétablir ce courant de solidarité, en communiquant "vos bonnes adresses" sur notre forum "Appel de phare" que Caradisiac se propose de mettre en ligne.Pour notre part, nous donnons l’exemple en répertoriant plus d’une vingtaine de lieux parisiens où les policiers ont l’habitude de placer leurs radars.Mais n’oubliez pas que la mobilité des radars laser est telle que les gendarmes peuvent maintenant entreprendre "une guerre de mouvement" contre les automobilistes. Face à cette débauche de technologie, la seule parade consiste en une solidarité accrue entre conducteursLire aussi :Comment échapper aux radars?