Par 1919
Jour 1 après le 80.
Voici maintenant 6 heures entrecoupées de pauses que je roule. Mes nerfs ont été mis à rude épreuve. Cette allure contre-nature donne des spasmes dans les yeux et dans le membre chargé de canaliser la horde de 54 chevaux de ma voiture de test. Bien m'en a pris de ne pas avoir conduit plus puissant. L'agréable distraction prodiguée par ma passagère semble être le seul remède efficace contre le "mal du 80" et gtrhfyjfttdnfgfdxb