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Commentaires - Les deux vies d'Amédée Gordini

Michel Holtz

Les deux vies d'Amédée Gordini

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Par

Super article :bien:

Un blason mythique, qui a malheureusement fini son existence pour orner la fabuleuse Twingo 2 DCi :frown:

C'est toujours un peu dommage qu'il soit nécessaire de se tourner vers le passé pour retrouver la passion qui existait dans le monde automobile.

L'automobile d'aujourd'hui présente autant d'émotions qu'une gamme de réfrigérateur chez Darty...

Par

Picsous Tavares a encore frappé

Par

En réponse à -Nicolas-

Super article :bien:

Un blason mythique, qui a malheureusement fini son existence pour orner la fabuleuse Twingo 2 DCi :frown:

C'est toujours un peu dommage qu'il soit nécessaire de se tourner vers le passé pour retrouver la passion qui existait dans le monde automobile.

L'automobile d'aujourd'hui présente autant d'émotions qu'une gamme de réfrigérateur chez Darty...

   

C’est la BM Isetta qui avait une porte fabriquée par une usine de frigos…

Par

En réponse à -Nicolas-

Super article :bien:

Un blason mythique, qui a malheureusement fini son existence pour orner la fabuleuse Twingo 2 DCi :frown:

C'est toujours un peu dommage qu'il soit nécessaire de se tourner vers le passé pour retrouver la passion qui existait dans le monde automobile.

L'automobile d'aujourd'hui présente autant d'émotions qu'une gamme de réfrigérateur chez Darty...

   

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

C'est exact. Chacun se positionnera où il veut.

Le présent et le futur s'annoncent excitants:

Tout le monde est beau et gentil, les influenceurs(ceuses) sont magnifiques et de bons conseils, les politiciens fabuleux, les décisions des états pertinentes.

On va avoir des lendemains qui chantent avec des fleurs et des arbres partout, plus de gaz méchants , des habitations troglodytes naturelles éco-compatibles, des trottinettes bio dégradables sans carbone, des avions à élastiques pour les longues distances, de la bouffe végan de qualité, la paix dans le monde....chouette alors.:coolfuck:

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Par

Gordini est apparu après la fin de Bugatti , permettant une présence française, même si pas au top, en compétition , avec le constructeur DB également ( qui deviendra Matra en 1964 ) .

Bien avant le " light is right " il y avait le " le poids, voilà l' ennemi " de Emile MATHIS, au début du XXe siècle, accessoirement associé à Ettore BUGATTI ...

Par

'Une légèreté de l’auto qui permet de disposer de petites cylindrées, boostées par des doigts de fée et c’est le succès assuré."

C'est là que l'on voit que le monde auto a bien changé!

"R8 Gordini, l'emblématique." quand je vois la photo, que de souvenirs d'adolescence, une voiture "comme tout le monde" pour l'époque mais quelle efficacité! Son moteur s'est invité un moment dans la berlinette Alpine A110!:bien:

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Ah non je te rassure on va pas se contenter de regarder dans le rétroviseur, on va tuer le chauffeur prendre sa place et faire demi tour. :bien:

Par

'Une légèreté de l’auto qui permet de disposer de petites cylindrées, boostées par des doigts de fée et c’est le succès assuré."

C'est là que l'on voit que le monde auto a bien changé!

"R8 Gordini, l'emblématique." quand je vois la photo, que de souvenirs d'adolescence, une voiture "comme tout le monde" pour l'époque mais quelle efficacité! Son moteur s'est invité un moment dans la berlinette Alpine A110!:bien:

Par

En réponse à Axel015

Ah non je te rassure on va pas se contenter de regarder dans le rétroviseur, on va tuer le chauffeur prendre sa place et faire demi tour. :bien:

   

On appellera ça le mouvement MAGA.

Make Automobil Great Again. :bien:

Par

En réponse à Axel015

Ah non je te rassure on va pas se contenter de regarder dans le rétroviseur, on va tuer le chauffeur prendre sa place et faire demi tour. :bien:

   

Post qui fait plaisir! Puissent les passionnés rester des passionnés!:bien:

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Le voiture actuelle européenne en 2024 me fait penser aux films en 3D au cinéma.

On fait tous des erreurs dans la vie, le cinéma n'a pas été épargné. :blague:

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Et ceux qui construisent une centrale à charbon par semaine et qui extraient le charbon, ils sont dans quelle catégorie ?

Par

"Ce décideur, numéro 2 de Renault à l'époque, n’était autre que Carlos Tavares."

Ça devient une obsession !!

Il va VRAIMENT falloir songer à consulter...

Si Tavares rembourse ses 36 millions de rémunération et ne garde que 20 fois le Smic (je crois que c'était l'écart maxi que préconisait Mélenchon, le génie de l'entreprenariat), ça faciliterait la thérapie de M. Holtz ??

Par

Gordini, vous nous manquez

Amédée...mayday, mayday..., automobile et automobilistes en détresse

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Un pays souverain décide de SES enjeux et de leur priorité. C'est d'ailleurs ce que font 80% des pays, moins cons que nous.

Autrement, ça s'appelle de l'asservissement.

Et que ce soit à une idéologie, fût elle justifiée, ne change rien à l'affaire...

Par

En réponse à gordini12

Et ceux qui construisent une centrale à charbon par semaine et qui extraient le charbon, ils sont dans quelle catégorie ?

   

Tonton Michel est venu t'interviewer ?

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

C’est exactement ça.

Regarder devant soi et innover. La seule façon de ne pas sombrer quand les concurrents se rapprochent.

Certains s’imaginent qu’en faisant demi-tour on va rétablir les colonies, remettre les Chinois sur des vélos, et expliquer à nos enfants et petits enfant que les efforts de transformation seront pour eux, que nous ne nous en sentons pas capables, par flemme ou confort. A eux de s’organiser pour la suite.

Pour la répartition des suiveurs et des résistants, j’ai l’impression que les proportions s’inversent ces dernières années. Résister aux changements est perçu comme une force par certains. Étrange cette politique de l’autruche qui consiste à faire semblant de ne pas voir que le monde et les enjeux sont différents d’il y a 30 ans. C’est à notre portée, il faut juste se relever et se remettre dans le sens de la marche.

Par

En réponse à Fibodi

C’est exactement ça.

Regarder devant soi et innover. La seule façon de ne pas sombrer quand les concurrents se rapprochent.

Certains s’imaginent qu’en faisant demi-tour on va rétablir les colonies, remettre les Chinois sur des vélos, et expliquer à nos enfants et petits enfant que les efforts de transformation seront pour eux, que nous ne nous en sentons pas capables, par flemme ou confort. A eux de s’organiser pour la suite.

Pour la répartition des suiveurs et des résistants, j’ai l’impression que les proportions s’inversent ces dernières années. Résister aux changements est perçu comme une force par certains. Étrange cette politique de l’autruche qui consiste à faire semblant de ne pas voir que le monde et les enjeux sont différents d’il y a 30 ans. C’est à notre portée, il faut juste se relever et se remettre dans le sens de la marche.

   

Pas 30 ans, 70 ans…

Quoique, ne serait-ce qu’il y a 30 ans, c’était encore bien différent.

Par

En réponse à Fibodi

C’est exactement ça.

Regarder devant soi et innover. La seule façon de ne pas sombrer quand les concurrents se rapprochent.

Certains s’imaginent qu’en faisant demi-tour on va rétablir les colonies, remettre les Chinois sur des vélos, et expliquer à nos enfants et petits enfant que les efforts de transformation seront pour eux, que nous ne nous en sentons pas capables, par flemme ou confort. A eux de s’organiser pour la suite.

Pour la répartition des suiveurs et des résistants, j’ai l’impression que les proportions s’inversent ces dernières années. Résister aux changements est perçu comme une force par certains. Étrange cette politique de l’autruche qui consiste à faire semblant de ne pas voir que le monde et les enjeux sont différents d’il y a 30 ans. C’est à notre portée, il faut juste se relever et se remettre dans le sens de la marche.

   

remettre les Chinois sur des vélos, NON les urbains français, ce qui était déja le cas avant et après la seconde guerre mondiale .

https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-sortie-d-usine-dombasle-sur-meurthe-610-4744-2-0.html

https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-sortie-d-usine-dombasle-sur-meurthe-610-4744-2-0.html

Voila, sauf que maintenant ce sont des bobos improductifs à la charge du peuple laborieux qui va travailler en voiture .

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Croyez-vous que, d'une manière générale, il y ait 15% de pionniers (terme plus franc et moins bobo que je préfère à "early adopters") lors de l'arrivée d'un changement assez profond comme celui qui a démarré il y a quelques années dans le monde de l'automobile, surtout européenne ?

Dans ces 15%, n'y a-t-il pas beaucoup de "suiveurs" ? Des suiveurs dont une grande majorité ne suit le mouvement que grâce à quelques générosités de leur gouvernement ? Des suiveurs dont une bonne partie ne suit le mouvement que pour le paraître ou l'ego ? Des suiveurs qui doivent aussi, au passage, disposer d'une maison individuelle avec garage et avoir des revenus au-dessus de la moyenne.

C'est pas ce qu'on peut appeler des pionniers. Les vrais pionniers, ils ne doivent pas dépasser les 1%. Ce sont des gens qui prennent des risques et qui ne le montrent pas forcément publiquement, qui ne se glorifient pas et qui ne donnent pas de leçon au reste du monde.

En tout cas, si changement de paradigme il y a dans le monde de l'automobile, il va durer encore plusieurs décennies. La notion de "early adopters", de "suiveurs" et de "résistants" sera alors très relative.

Et personne ne sera à blâmer d'être ou d'avoir été dans le 1er, le 2e ou le 3e groupe. Tout cela est avant tout une histoire d'opportunités, de besoins, de moyens.

Par

On peut être resistant par nostalgie car il faut bien admettre que les voitures de ces années là sont bien plus enthousiasmant que celle d'aujourd'hui. Mais peut être que cette nostalgie est propre aux vrais passionnés dont je fais partie. Après on peut être attentif aux progrès car tout n'est pas à jeter si on reste dans le domaine de la passion et de la connaissance des nouvelles techniques. Et n'oublions pas que même une r8 gordini ou d'autres sportives de l'époque avec des beaux carbus bien réglés et un échappement bien travaillé était plus agréable à écouter qu'une électrique même avec plein de cv. Mais bon il faut de tout pour faire un monde!!!!???

Par

En réponse à Jantalu

On peut être resistant par nostalgie car il faut bien admettre que les voitures de ces années là sont bien plus enthousiasmant que celle d'aujourd'hui. Mais peut être que cette nostalgie est propre aux vrais passionnés dont je fais partie. Après on peut être attentif aux progrès car tout n'est pas à jeter si on reste dans le domaine de la passion et de la connaissance des nouvelles techniques. Et n'oublions pas que même une r8 gordini ou d'autres sportives de l'époque avec des beaux carbus bien réglés et un échappement bien travaillé était plus agréable à écouter qu'une électrique même avec plein de cv. Mais bon il faut de tout pour faire un monde!!!!???

   

"on peut être attentif aux progrès car tout n'est pas à jeter si on reste dans le domaine de la passion et de la connaissance des nouvelles techniques."

Je partage!:bien:

Par

En réponse à Jantalu

On peut être resistant par nostalgie car il faut bien admettre que les voitures de ces années là sont bien plus enthousiasmant que celle d'aujourd'hui. Mais peut être que cette nostalgie est propre aux vrais passionnés dont je fais partie. Après on peut être attentif aux progrès car tout n'est pas à jeter si on reste dans le domaine de la passion et de la connaissance des nouvelles techniques. Et n'oublions pas que même une r8 gordini ou d'autres sportives de l'époque avec des beaux carbus bien réglés et un échappement bien travaillé était plus agréable à écouter qu'une électrique même avec plein de cv. Mais bon il faut de tout pour faire un monde!!!!???

   

Personnellement, je ne suis pas dans la logique c'était mieux avant par défaut.

Pour ma part je pense, que les voitures ont été de mieux en mieux jusqu'à 2015/2016.

Certes on a perdu en sensation quelque peu au fil des années (asseptisation des voitures modernes), mais en contrepartie, on gagnait en confort, en performance, en polyvalence, en fiabilité, en coût d'usage, etc...

Les normes ont tjrs existé mais elle était tjrs respectueuses des réalités industrielles et des besoins des consommateurs.

Mais à un moment ça a totalement vrillé, la folie normative et fiscale, fait que le constructeur qui hier passé 10% de son développement à chercher à tenir des normes, et 90% eu temps à répondre aux besoins et aux envies des consommateurs : aujourd'hui la proportion est inversée.

Il est là, le problème : nos dirigeants sont un cancer pour l'automobile. Et comme tout cancer qu'on ne traite pas, les tumeurs se multiplient :

- le downsizing : une des premières tumeurs

- les courroies dans l'huile

- divers conception moteurs foireuses pour tenir les dernières normes et malus (3 cylindres ultra optimisée, ad blue qui n'a jamais bien fonctionné, les vannes EGR qui s'encrasse, etc...)

- les assistances qui font de vous des assistés

- les véhicules qui ne servent qu'à contourner les normes pour 80% des acheteurs (hybrides and co)

- des véhicules de plus en plus lourd

- prix qui s'envolent

etc ...

A titre personnel je suis pour l'organisation d'un Nuremberg pour tout nos dirigeants européens et français qui ont conduit à cette exécution pure et simple de notre l'industrie automobile. Mais si nous ne pouvons pas avoir justice, soit, mais au moins virons les une bonne fois pour toute des instances décisionnelles. :bah:

Par

En réponse à Axel015

Ah non je te rassure on va pas se contenter de regarder dans le rétroviseur, on va tuer le chauffeur prendre sa place et faire demi tour. :bien:

   

Toujours cette vanité et cette arrogance que mon âge me permet de regarder avec un petit sourire aux lèvres ….

Vous n’êtes pas au bout de vos désillusions….

Par

Et quand les bagnoles correspondaient à tes aspirations, tu n'en a jamais achetée une neuve.

Quitte à te coller un crédit sur le dos, comme tu l'as fait pour ta baraque de banlieue glauque.

Par

En réponse à Axel015

Personnellement, je ne suis pas dans la logique c'était mieux avant par défaut.

Pour ma part je pense, que les voitures ont été de mieux en mieux jusqu'à 2015/2016.

Certes on a perdu en sensation quelque peu au fil des années (asseptisation des voitures modernes), mais en contrepartie, on gagnait en confort, en performance, en polyvalence, en fiabilité, en coût d'usage, etc...

Les normes ont tjrs existé mais elle était tjrs respectueuses des réalités industrielles et des besoins des consommateurs.

Mais à un moment ça a totalement vrillé, la folie normative et fiscale, fait que le constructeur qui hier passé 10% de son développement à chercher à tenir des normes, et 90% eu temps à répondre aux besoins et aux envies des consommateurs : aujourd'hui la proportion est inversée.

Il est là, le problème : nos dirigeants sont un cancer pour l'automobile. Et comme tout cancer qu'on ne traite pas, les tumeurs se multiplient :

- le downsizing : une des premières tumeurs

- les courroies dans l'huile

- divers conception moteurs foireuses pour tenir les dernières normes et malus (3 cylindres ultra optimisée, ad blue qui n'a jamais bien fonctionné, les vannes EGR qui s'encrasse, etc...)

- les assistances qui font de vous des assistés

- les véhicules qui ne servent qu'à contourner les normes pour 80% des acheteurs (hybrides and co)

- des véhicules de plus en plus lourd

- prix qui s'envolent

etc ...

A titre personnel je suis pour l'organisation d'un Nuremberg pour tout nos dirigeants européens et français qui ont conduit à cette exécution pure et simple de notre l'industrie automobile. Mais si nous ne pouvons pas avoir justice, soit, mais au moins virons les une bonne fois pour toute des instances décisionnelles. :bah:

   

Certains diront, avec raison, que les véhicules 100% électriques éliminent au moins 50% de ces inconvénients... C'est donc peut-être uniquement temporaire, le temps (qui sera assez long quand même) de la transition.

Personnellement, je suis autant gêné par les aides trop intrusives et par les écrans trop intrusifs des autos actuelles que par les contraintes, sans doute temporaires là-aussi, amenées par les VE.

Resteront les aides qui pourront peut-être être perfectionnées et moins intrusives.

En revanche, je trouve qu'à terme il pourra y avoir un problème assez sérieux d'inégalité en ce qui concerne le coût de la recharge selon qu'on puisse le faire à domicile ou pas. Un rechargement long et relativement peu coûteux d'un côté, un rechargement rapide et plus coûteux de l'autre. A mon avis, il s'agit d'un point qu'il faudra résoudre.

Par

En réponse à Axel015

Personnellement, je ne suis pas dans la logique c'était mieux avant par défaut.

Pour ma part je pense, que les voitures ont été de mieux en mieux jusqu'à 2015/2016.

Certes on a perdu en sensation quelque peu au fil des années (asseptisation des voitures modernes), mais en contrepartie, on gagnait en confort, en performance, en polyvalence, en fiabilité, en coût d'usage, etc...

Les normes ont tjrs existé mais elle était tjrs respectueuses des réalités industrielles et des besoins des consommateurs.

Mais à un moment ça a totalement vrillé, la folie normative et fiscale, fait que le constructeur qui hier passé 10% de son développement à chercher à tenir des normes, et 90% eu temps à répondre aux besoins et aux envies des consommateurs : aujourd'hui la proportion est inversée.

Il est là, le problème : nos dirigeants sont un cancer pour l'automobile. Et comme tout cancer qu'on ne traite pas, les tumeurs se multiplient :

- le downsizing : une des premières tumeurs

- les courroies dans l'huile

- divers conception moteurs foireuses pour tenir les dernières normes et malus (3 cylindres ultra optimisée, ad blue qui n'a jamais bien fonctionné, les vannes EGR qui s'encrasse, etc...)

- les assistances qui font de vous des assistés

- les véhicules qui ne servent qu'à contourner les normes pour 80% des acheteurs (hybrides and co)

- des véhicules de plus en plus lourd

- prix qui s'envolent

etc ...

A titre personnel je suis pour l'organisation d'un Nuremberg pour tout nos dirigeants européens et français qui ont conduit à cette exécution pure et simple de notre l'industrie automobile. Mais si nous ne pouvons pas avoir justice, soit, mais au moins virons les une bonne fois pour toute des instances décisionnelles. :bah:

   

Personnellement, je

Pour ma part je pense,

Simple question, vous êtes combien à rédiger, il y celui qui pense et celui qui personnalise ?

Par

En réponse à 992Phil

Toujours cette vanité et cette arrogance que mon âge me permet de regarder avec un petit sourire aux lèvres ….

Vous n’êtes pas au bout de vos désillusions….

   

Par contre, vous concernant, vous êtes au bout du chemin. L'étape suivante c'est les pompes funèbres. :blague:

Qui sait peut-être que le corbillard sera électrique. :areuh:

Par

En réponse à patrickdutour77

Personnellement, je

Pour ma part je pense,

Simple question, vous êtes combien à rédiger, il y celui qui pense et celui qui personnalise ?

   

Je ne fais pas de mon opinion une vérité générale qui devrait s'appliquer à tous.

C'est la différence entre vous et moi. :bah:

Par

En réponse à roc et gravillon

Et quand les bagnoles correspondaient à tes aspirations, tu n'en a jamais achetée une neuve.

Quitte à te coller un crédit sur le dos, comme tu l'as fait pour ta baraque de banlieue glauque.

   

Normal ! Quand j'ai eu l'argent pour acheter une voiture neuve c'était trop tard. Plus des infames merdes sur le marché.

En 2015, je gagnais 1200 euros par mois comme apprenti. Avec ça tu n'achètes pas une voiture neuve. :bah:

Par

En réponse à Axel015

Normal ! Quand j'ai eu l'argent pour acheter une voiture neuve c'était trop tard. Plus des infames merdes sur le marché.

En 2015, je gagnais 1200 euros par mois comme apprenti. Avec ça tu n'achètes pas une voiture neuve. :bah:

   

plus que* des

Par

En réponse à 992Phil

Toujours cette vanité et cette arrogance que mon âge me permet de regarder avec un petit sourire aux lèvres ….

Vous n’êtes pas au bout de vos désillusions….

   

La vanité et l'arrogance c'est de ne pas reconnaître que tu as soutenu politiquement pendant au moins une décennie des gens qui ont factuellement échoué.

Aujourd'hui, ça ne trompe presque plus personne. :bah:

Par

En réponse à Axel015

Personnellement, je ne suis pas dans la logique c'était mieux avant par défaut.

Pour ma part je pense, que les voitures ont été de mieux en mieux jusqu'à 2015/2016.

Certes on a perdu en sensation quelque peu au fil des années (asseptisation des voitures modernes), mais en contrepartie, on gagnait en confort, en performance, en polyvalence, en fiabilité, en coût d'usage, etc...

Les normes ont tjrs existé mais elle était tjrs respectueuses des réalités industrielles et des besoins des consommateurs.

Mais à un moment ça a totalement vrillé, la folie normative et fiscale, fait que le constructeur qui hier passé 10% de son développement à chercher à tenir des normes, et 90% eu temps à répondre aux besoins et aux envies des consommateurs : aujourd'hui la proportion est inversée.

Il est là, le problème : nos dirigeants sont un cancer pour l'automobile. Et comme tout cancer qu'on ne traite pas, les tumeurs se multiplient :

- le downsizing : une des premières tumeurs

- les courroies dans l'huile

- divers conception moteurs foireuses pour tenir les dernières normes et malus (3 cylindres ultra optimisée, ad blue qui n'a jamais bien fonctionné, les vannes EGR qui s'encrasse, etc...)

- les assistances qui font de vous des assistés

- les véhicules qui ne servent qu'à contourner les normes pour 80% des acheteurs (hybrides and co)

- des véhicules de plus en plus lourd

- prix qui s'envolent

etc ...

A titre personnel je suis pour l'organisation d'un Nuremberg pour tout nos dirigeants européens et français qui ont conduit à cette exécution pure et simple de notre l'industrie automobile. Mais si nous ne pouvons pas avoir justice, soit, mais au moins virons les une bonne fois pour toute des instances décisionnelles. :bah:

   

Pour moi l'automobile avec la majorité de l'évolution s'est quasi arrêtée dans les années 90 .

Les voitures des générations suivantes ne sont que de la cosmétique des voitures de ces années là.

Le reste n'est que de l'adaptation d'électronique. Traverse la France avec une Versailles , une Safrane et un 5008 et tu verra ou se situe le plus grand saut. Tu peux prendre aussi une tesla et tu verra si tu va plus vite et si tes vertèbres ont mieux supporté.

Pour le reste dans le sport auto, car c'est un peu le sujet de l'article, et bien ce n'est que de la régression . Tu pouvais quasi sans fric et un peu de débrouille participer et même gagner avec des moeyns modestes . Tout cela est terminé à des exceptions près. Tout était possible, tu faisait la coupe R8G en te déplaçant par la route, ta voiture était homologuée pour cela. Maintenant c'est fourgon, remorque et tout le fric qui va avec. C'est sur que dans ce domaine, c'était clairement mieux avant.

Par

En réponse à Axel015

La vanité et l'arrogance c'est de ne pas reconnaître que tu as soutenu politiquement pendant au moins une décennie des gens qui ont factuellement échoué.

Aujourd'hui, ça ne trompe presque plus personne. :bah:

   

Deux citations pour mettre vos propos en perspective :

La critique est aisée et l’art est difficile….(Boileau)

La critique est surtout la puissance des impuissants (Lamartine)

Par

En réponse à gordini12

Pour moi l'automobile avec la majorité de l'évolution s'est quasi arrêtée dans les années 90 .

Les voitures des générations suivantes ne sont que de la cosmétique des voitures de ces années là.

Le reste n'est que de l'adaptation d'électronique. Traverse la France avec une Versailles , une Safrane et un 5008 et tu verra ou se situe le plus grand saut. Tu peux prendre aussi une tesla et tu verra si tu va plus vite et si tes vertèbres ont mieux supporté.

Pour le reste dans le sport auto, car c'est un peu le sujet de l'article, et bien ce n'est que de la régression . Tu pouvais quasi sans fric et un peu de débrouille participer et même gagner avec des moeyns modestes . Tout cela est terminé à des exceptions près. Tout était possible, tu faisait la coupe R8G en te déplaçant par la route, ta voiture était homologuée pour cela. Maintenant c'est fourgon, remorque et tout le fric qui va avec. C'est sur que dans ce domaine, c'était clairement mieux avant.

   

Comme si en matière de sport auto, ce n'était pas rigoureusement l'opposé.

Je t'engage à aller vérifier le prix de vente d'une R8 Gord', de prendre en compte sa consommation, celui de la bagnole avec remorque qui la trimballait d'un coin à l'autre de la France, des vidanges rapprochées, de la corrosion gallopante...

Et rapproche ça d'un smic de l'époque pour curseur d'évaluation.

Comme s'il n'existait pas des tas de disciplines d'approche du sport auto relativement bon marché pour 2025.

Et si la Gord' te botte, eh bien engage en une en VHC sur circuit.

Si tu ne la plantes pas, sa valeur sera quasi-identique en fin qu'en début de saison.

Mais toujours cette scie du "c'était mieux avant" serinée par les vieux...

Par

Le sport auto, ça n'a jamais été bon marché, excepté à la fin des années 60 avec justement la coupe R8 Gordini et quelques rares autres compétitions qui permettaient parfois à certains de venir directement par la route mais surtout de pouvoir se mettre en évidence et de passer aux monoplaces (FF/FR, F3) ou de progresser en rallyes dans des équipes plus professionnelles.

Aujourd'hui il est possible d'avoir des budgets similaires mais dans ce cas, il est hors de question d'accéder aussi facilement aux disciplines supérieures.

Et avant les 60's, le sport auto était principalement l'affaire de gentlemen drivers assez fortunés.

Donc ça a été mieux à une certaine période mais ça n'a pas duré bien longtemps. Une grosse décennie peut-être.

Par

En réponse à gordini12

remettre les Chinois sur des vélos, NON les urbains français, ce qui était déja le cas avant et après la seconde guerre mondiale .

https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-sortie-d-usine-dombasle-sur-meurthe-610-4744-2-0.html

https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-sortie-d-usine-dombasle-sur-meurthe-610-4744-2-0.html

Voila, sauf que maintenant ce sont des bobos improductifs à la charge du peuple laborieux qui va travailler en voiture .

   

Ces images de sorties d’usine à vélo nous rappellent deux choses.

1/ On a tendance à idéaliser le passé. Ce n’était pas forcément mieux avant, la vie n’était pas plus facile qu’aujourd’hui sur une multitude d’aspects. Interrogez les anciens.

2/ La société a évolué. Les usines s’installaient en ville, et les ouvriers qui allaient travailler à vélo habitaient eux aussi en ville. Aujourd’hui les usines sont loin des centre-ville et les ouvriers ne peuvent plus se loger en ville. Il y a une petite minorité de privilégiés (qui est mise en avant par un effet loupe caricatural) qui habite et travaille en ville, et qui peut s’offrir le luxe d’aller travailler à vélo.

Par

Un génie de l'automobile qui avait compris que l'efficacité venait de la légèreté et d'une mise au point minutieuse. Rien ne sert d'avoir une puissance démesurée.

Beaucoup de constructeurs d'aujourd'hui devrait se souvenir de ça avant de concevoir des SUV inadaptés tous plus lourds les uns que les autres.

Par

En réponse à Fibodi

Ces images de sorties d’usine à vélo nous rappellent deux choses.

1/ On a tendance à idéaliser le passé. Ce n’était pas forcément mieux avant, la vie n’était pas plus facile qu’aujourd’hui sur une multitude d’aspects. Interrogez les anciens.

2/ La société a évolué. Les usines s’installaient en ville, et les ouvriers qui allaient travailler à vélo habitaient eux aussi en ville. Aujourd’hui les usines sont loin des centre-ville et les ouvriers ne peuvent plus se loger en ville. Il y a une petite minorité de privilégiés (qui est mise en avant par un effet loupe caricatural) qui habite et travaille en ville, et qui peut s’offrir le luxe d’aller travailler à vélo.

   

Tous les anciens interrogés disent pourtant majoritairement que c'était mieux avant (deuxième moitié du XXeme siècle) Vous devriez mieux les interroger je pense...

Par

En réponse à PierreAndre

Tous les anciens interrogés disent pourtant majoritairement que c'était mieux avant (deuxième moitié du XXeme siècle) Vous devriez mieux les interroger je pense...

   

Vous n’avez pas dû leur poser les bonnes questions.

Ou bien vous n’interrogez que les notables.

Par

En réponse à Fibodi

Ces images de sorties d’usine à vélo nous rappellent deux choses.

1/ On a tendance à idéaliser le passé. Ce n’était pas forcément mieux avant, la vie n’était pas plus facile qu’aujourd’hui sur une multitude d’aspects. Interrogez les anciens.

2/ La société a évolué. Les usines s’installaient en ville, et les ouvriers qui allaient travailler à vélo habitaient eux aussi en ville. Aujourd’hui les usines sont loin des centre-ville et les ouvriers ne peuvent plus se loger en ville. Il y a une petite minorité de privilégiés (qui est mise en avant par un effet loupe caricatural) qui habite et travaille en ville, et qui peut s’offrir le luxe d’aller travailler à vélo.

   

Pas besoin de voitures. Ni de vélo.

Pour les pauvres, on a inventé les transports en commun.

Par

En réponse à Fibodi

Vous n’avez pas dû leur poser les bonnes questions.

Ou bien vous n’interrogez que les notables.

   

Il n'a surtout pas pigé que chaque génération reproduit les même schémas depuis la nuit des temps...

Par

En réponse à EllePe

Le sport auto, ça n'a jamais été bon marché, excepté à la fin des années 60 avec justement la coupe R8 Gordini et quelques rares autres compétitions qui permettaient parfois à certains de venir directement par la route mais surtout de pouvoir se mettre en évidence et de passer aux monoplaces (FF/FR, F3) ou de progresser en rallyes dans des équipes plus professionnelles.

Aujourd'hui il est possible d'avoir des budgets similaires mais dans ce cas, il est hors de question d'accéder aussi facilement aux disciplines supérieures.

Et avant les 60's, le sport auto était principalement l'affaire de gentlemen drivers assez fortunés.

Donc ça a été mieux à une certaine période mais ça n'a pas duré bien longtemps. Une grosse décennie peut-être.

   

Mais c'est du grand n'importe quoi que cette idéalisation du passé.

Les rallye régionaux font le plein, de multiples disciplines sur circuit aussi...

Connais-tu simplement tout ce qui existe à l'offre référencée FFSA ?

Par

En réponse à roc et gravillon

Mais c'est du grand n'importe quoi que cette idéalisation du passé.

Les rallye régionaux font le plein, de multiples disciplines sur circuit aussi...

Connais-tu simplement tout ce qui existe à l'offre référencée FFSA ?

   

Idéalisation ? Bien au contraire. L'époque en question a été très très courte. Difficile de se reposer sur elle pour dire que c'était mieux avant.

La coupe R8 Gordini en particulier ou certains rallyes avec autos quasi de série, ont permis à de nombreux pilotes de se mettre en évidence sans énorme budget, beaucoup plus que n'importe quel rallye régional ou petite course en circuit actuelle qui demande les mêmes sacrifices financiers.

A budget comparable, l'espoir de grimper dans la hiérarchie n'est aujourd'hui, et cela depuis longtemps, pas du tout le même.

Par

L'article parfait qui permet de prendre la machine à remonter le temps!

Par

À chaque fois que tu vois le nom Tavares c'est la catastrophe pure qu'un cyclone qui détruit tout!

Tavares en Portugais cela doit vouloir dire: "Source à enmerdement permanent!"

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

"Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile." Vous avez oublié où l'on pouvait rire de tout avec n'importe qui (très important).Le : "il faut sortir de sa zone de confort" c'est non, j'ai mis 40 ans à la construire c'est dire, et regarder dans le rétro permet à tout le moins de ne pas reproduire les mêmes erreurs pour peu que les gens pétri de certitudes (et de talent qui sait) vous prêtent une oreille attentive.

Par

En réponse à roc et gravillon

Mais c'est du grand n'importe quoi que cette idéalisation du passé.

Les rallye régionaux font le plein, de multiples disciplines sur circuit aussi...

Connais-tu simplement tout ce qui existe à l'offre référencée FFSA ?

   

Oui et non cher Mr Roc car si tu regardes bien à travers le monde, les courses monotype existe depuis des décennies dans différentes catégories et cela a toujours été bénéfique pour les marques comme bénéfiques pour les pilotes à petit budget comme on a pu le voir en Europe ou au Japon par exemple. En rallye aussi il y a eu toujours des sous catégories pour pouvoir en profiter. :bien:

Par

En réponse à 992Phil

Ce sont des voitures du début des 30 glorieuses…

Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile.

Ce temps est révolu… il faut regarder devant et innover dans un monde où de nouveaux enjeux sont devant notre porte.

Face à ces changements de paradigme automobile, on retrouve classiquement les 3 catégories d’attitudes que l’on retrouve dans toute transformation fondamentale :

-15% de early adopters

-70% de suiveurs

-15% de résistants

À chacun de se positionner….

Mais il est clair que regarder dans le rétroviseur ne changera rien à la profonde transformation en cours.

   

Certes, on ne peut pas resté continuellement tourné vers le passé.

Mais à la différence avec l' avenir, le passé on le connaît. Bien sûr qu' il y avait des choses qui aujourd' hui ferait hérisser les plus "sensibles": écologie, politique, consommation, droits... L' avenir, perso, je le voit très idéalisé, mais vraiment pas idéal!

Pour tenter de rester dans le coeur du sujet, à savoir un homme qui savait donner du peps à des mécaniques qu' on aurait toisé, il faut bien admettre qu' on ne retrouvera plus d' esprits ingénieux, en dehors de mettre toujours plus de béquilles numériques sur des machins gaulés comme des réfrigérateurs. On va même complètement dans la démarche inverse, avec des batteries toujours plus puissantes pour déplacer des parpaings toujours plus lourds, l' un étant la conséquence de l' autre!

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En réponse à ZZTOP60

Post qui fait plaisir! Puissent les passionnés rester des passionnés!:bien:

   

Post qui fait peur. C'est le monopole de la passion: cylindrés et watts à gogo dans un boucan d'enfer et de la violence

Et tant pis pour les pratiques de l'automobile même passionnées. Ils n'ont qu'à crever

Par

En réponse à JF2

"Le temps où la France avait des colonies, où la croissance était forte, où l’écologie n’était pas une préoccupation et ne pesait pas sur l’automobile." Vous avez oublié où l'on pouvait rire de tout avec n'importe qui (très important).Le : "il faut sortir de sa zone de confort" c'est non, j'ai mis 40 ans à la construire c'est dire, et regarder dans le rétro permet à tout le moins de ne pas reproduire les mêmes erreurs pour peu que les gens pétri de certitudes (et de talent qui sait) vous prêtent une oreille attentive.

   

On a tous bossé comme des dingues pour construire notre « confort ». (Et même, dans mon cas, mon superflu)

Cela n’empêche pas de devoir être lucide et surtout d’éviter de nager à contre courant. Surtout vis à vis de nos petits enfants qui (et c’est TRÈS IMPORTANT !) n’auront jamais connu l’époque qui a été celle de notre enfance.

Pour la génération de nos petits-enfants, l’odeur de l’huile ou le bruit d’un 6 cylindres paraîtra probablement comme une curiosité historique.

Pour ceux que la gestion du changement, je ne peux que conseiller la lecture de « Who moves my cheese ? ».

Une histoire de petites souris confrontées à la baisse de leur réserve de fromage.

Par

En réponse à deville70

Certes, on ne peut pas resté continuellement tourné vers le passé.

Mais à la différence avec l' avenir, le passé on le connaît. Bien sûr qu' il y avait des choses qui aujourd' hui ferait hérisser les plus "sensibles": écologie, politique, consommation, droits... L' avenir, perso, je le voit très idéalisé, mais vraiment pas idéal!

Pour tenter de rester dans le coeur du sujet, à savoir un homme qui savait donner du peps à des mécaniques qu' on aurait toisé, il faut bien admettre qu' on ne retrouvera plus d' esprits ingénieux, en dehors de mettre toujours plus de béquilles numériques sur des machins gaulés comme des réfrigérateurs. On va même complètement dans la démarche inverse, avec des batteries toujours plus puissantes pour déplacer des parpaings toujours plus lourds, l' un étant la conséquence de l' autre!

   

"Pour tenter de rester dans le coeur du sujet, à savoir un homme qui savait donner du peps à des mécaniques".

La R8 Gordini faisait un peu plus de 800kg, cylindrée 1100 ou 1300cc avec autour de 100CV mais un ensemble qui a permis a beaucoup de pilotes de se faire connaître en circuit, (rallye ou côte) et d'accéder jusqu'à la F1!

Mon grand frère en avait une, elle avait un rapport poids puissance de 8KG/CV (en fait pratiquement le même que sur la Porsche que j'ai pu conduire après (911 2.7 150CV) ce qui explique les sensations qu'on pouvait avoir à bord à l'époque.:bah:

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En réponse à ape.happy

Post qui fait peur. C'est le monopole de la passion: cylindrés et watts à gogo dans un boucan d'enfer et de la violence

Et tant pis pour les pratiques de l'automobile même passionnées. Ils n'ont qu'à crever

   

"dans un boucan d'enfer et de la violence"

Faut pas "déc...." quand même.IL ne faut pas confondre voiture sportive et mobylette ou scooter de banlieue (ou de place de village, d'ailleurs)!

Ce n'est pas parce qu'un véhicule est bruyant qu'il est passionnant à piloter!

Bien au contraire ,pour ma part, j'ai toujours apprécié quand la sobriété et la discrétion cachent une certaine efficacité!

Par

En réponse à gordini12

Pour moi l'automobile avec la majorité de l'évolution s'est quasi arrêtée dans les années 90 .

Les voitures des générations suivantes ne sont que de la cosmétique des voitures de ces années là.

Le reste n'est que de l'adaptation d'électronique. Traverse la France avec une Versailles , une Safrane et un 5008 et tu verra ou se situe le plus grand saut. Tu peux prendre aussi une tesla et tu verra si tu va plus vite et si tes vertèbres ont mieux supporté.

Pour le reste dans le sport auto, car c'est un peu le sujet de l'article, et bien ce n'est que de la régression . Tu pouvais quasi sans fric et un peu de débrouille participer et même gagner avec des moeyns modestes . Tout cela est terminé à des exceptions près. Tout était possible, tu faisait la coupe R8G en te déplaçant par la route, ta voiture était homologuée pour cela. Maintenant c'est fourgon, remorque et tout le fric qui va avec. C'est sur que dans ce domaine, c'était clairement mieux avant.

   

Je confirme et me permets ici de rapporter des propos du regretté pilote Jean Luc Thérier qui a fait ses débuts à peu près dans ces années là:

"C’était formidable, raconte Thérier, à l’époque on courait en blue-jean et en chaussure de ville. Mon auto me servait aussi bien pour rouler tous les Jours que pour faire des rallyes ou des épreuves de la « Coupe ». Avec des copains, on fonçait voir le départ des 24 Heures du Mans à cinq dans la R8, et dans la nuit on revenait à Neufchatel ( en Bray) pour le bal. J’arrêtais pas ! A la fin de l’année, ma "Gorde "avait plus de 100 000 kilomètres. Elle m’a quand même permis de finir troisième à la finale de la «Coupe»… »

La "Gord " font il parle avait été achetée avec l'aide de sa mère (car son père avait un garage Citroën et la Gorde c'est du Renault!)mais dès qu'il a fait ses preuves, son père l'a aidé pour l'entretien...

On a tous vu après le palmarés et la polyvalence de ce pilote sur A 110 en particulier...

Par

En réponse à roc et gravillon

Comme si en matière de sport auto, ce n'était pas rigoureusement l'opposé.

Je t'engage à aller vérifier le prix de vente d'une R8 Gord', de prendre en compte sa consommation, celui de la bagnole avec remorque qui la trimballait d'un coin à l'autre de la France, des vidanges rapprochées, de la corrosion gallopante...

Et rapproche ça d'un smic de l'époque pour curseur d'évaluation.

Comme s'il n'existait pas des tas de disciplines d'approche du sport auto relativement bon marché pour 2025.

Et si la Gord' te botte, eh bien engage en une en VHC sur circuit.

Si tu ne la plantes pas, sa valeur sera quasi-identique en fin qu'en début de saison.

Mais toujours cette scie du "c'était mieux avant" serinée par les vieux...

   

Désolé Roc, tu ne connais pas le milieu, nous qui avons vécu cette époque sommes tous unanimes.

Le sport auto est de plus en plus cher et avec la bienpensance de la fédé et du monde qui veut tout protéger.

Je te parle de quelque chose que je connais, j'ai roulé en rallye et en circuit. le dernier rallye que j'ai fait en 1988, j'ai terminé second du scratch et premier de mon groupe avec une voiture achetée 1500 euros en épave. La voiture avait du me couter un peu plus de 5000 francs, R5 Gt turbo gr N . Ce temps est terminé , pour espérer finir second du scratch, il te faut une R5 qui coute au bas mot 150 000 euros d'occas . Je te cause même pas du prix des révisions. Moi , la r5 j'allai au boulot dans la semaine avec.

ATTERIT ce n'est plus ce monde là, même en kart, c'est une gabegie financière. Mon frangin est dans le milieu sport auto, il coach des jeunes pilotes, chaque année la somme dépensée te permet d'acheter un appart dans une grande ville. Lafitte, Arnoux dormaient dans une caravane à Magny-cours, tu pouvais tourner sur le circuit pour quasi rein , maintenant c'est 100 euros les 20 mn avant le meeting, bref un autre monde .

Par

Certes la vie n'était sûrement pas plus facile avant mais ceux qui le disent avaient 20 ans à l'époque comme m

moi d'ailleurs. Et étant jeune on était forcément plus insouciant et à l'époque on était moins accablé par toutes ces choses qui nous pourrissent la vie maintenant. Nos gouvernants ont tué le rêve et cela explique peut être l'engouement pour les young timers et autres voitures de collection. D'ailleurs les jeunes de maintenant y viennent car il faut reconnaître que les voitures d'aujourd'hui ne font pas rêver personne. Et les perspectives d'avenir ne sont pas des plus réjouissantes. Mais la seule consolation est que lorsqu'on regarde les plateaux de rallye et de courses de côte il y a encore de belles autos. Mais pour combien de temps encore car les budgets restent conséquent et les sponsors risquent de devenir rares. Et le comble dans tout ça c'est que des entreprises comme abarth ont jeté l'éponge concernant les moteurs thermiques. Qu'aurait fait ce brave Amédée. That is the question !!???

Par

En réponse à SF90

Picsous Tavares a encore frappé

   

Peux tu me rappeler à qui on doit la renaissance d'Alpine ?

Par

En réponse à hyvo

Peux tu me rappeler à qui on doit la renaissance d'Alpine ?

   

Bof, non plus pas terrible, Renault Sport a disparu, et en F1 les Alpines auront des moteurs Mercedes. Ensuite, pour l’instant un seul modèle. Bravo à Tavares Picsou pour avoir donné renaissance à Alpine… Mais il a quitté le groupe ensuite. Peut-être qu’il aurait fait comme pour Gordini ensuite. Des Alpine Twingo bleu France ? Un sou est un sou pour les Picsou.

Par

En réponse à SF90

Bof, non plus pas terrible, Renault Sport a disparu, et en F1 les Alpines auront des moteurs Mercedes. Ensuite, pour l’instant un seul modèle. Bravo à Tavares Picsou pour avoir donné renaissance à Alpine… Mais il a quitté le groupe ensuite. Peut-être qu’il aurait fait comme pour Gordini ensuite. Des Alpine Twingo bleu France ? Un sou est un sou pour les Picsou.

   

Réponse hors sujet. Il n'est pour rien en ce qui concerne la F1. Par contre il est à la renaissance de la marque Alpine en tant que voiture sur route.

Par

si Amédée voyait les dindons electrique de 2T sans saveur ni chassis...:orni:

Par

En réponse à Fibodi

Vous n’avez pas dû leur poser les bonnes questions.

Ou bien vous n’interrogez que les notables.

   

J'ai toujours entendu les vieux dire " on n'a pas beaucoup d'argent mais on est heureux."

Dans les villages où les petites villes tout le monde se connaissait, on s'entraidait tout les temps. Les jeunes aidaient les anciens. Disparu tout ça aujourd'hui.

Aujourd'hui aux mêmes endroits, les habitants ne se parlent plus ou si peu.

C'est du chacun pour soi, l'égoïsme à l'état pur.

Il y a au moins encore un endroit où l'entraide est tjrs d'actualité, c'est la Corse.

On s'aide et on ne parle pas argent. C'est toujours à charge de revenche.

Par

En réponse à ruaux

J'ai toujours entendu les vieux dire " on n'a pas beaucoup d'argent mais on est heureux."

Dans les villages où les petites villes tout le monde se connaissait, on s'entraidait tout les temps. Les jeunes aidaient les anciens. Disparu tout ça aujourd'hui.

Aujourd'hui aux mêmes endroits, les habitants ne se parlent plus ou si peu.

C'est du chacun pour soi, l'égoïsme à l'état pur.

Il y a au moins encore un endroit où l'entraide est tjrs d'actualité, c'est la Corse.

On s'aide et on ne parle pas argent. C'est toujours à charge de revenche.

   

Là je suis d'accord.

On faisait en sorte d'être le plus heureux possible avec ce que l'on avait. Il y avait plus de cohésions sociale, moins raisonnements binaires sans aucune nuance, moins d'individualisme, moins d'abonnements.

On ne passait son temps sur les réseaux à lire les mauvaises nouvelles de l'autre bout de la planète, à ce centrer sur soi (le ridicule des selfies), à se comparer à la (mise en scène de la) réussite de l'autre, et à désirer les objets futiles que présente son influenceur favori dans des publireportages et qui finissent par remplir les débarras.

 

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