Essai Aprilia Shiver GT ABS: Le frisson des grands espaces
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Le roadster de Noale apparu en 2007 sur un créneau on ne peut plus prisé, pensait bien jouer la carte de la différence avec son accélérateur électronique, ses cartographies au choix d'un simple coup de pouce, entre autres avancées électroniques. Le tout pour se faire une place au soleil.
Mais ladite carte n'a pas encore convaincu le chaland qui ne la considère toujours pas comme un atout maître dans sa prise de décision au moment de se lancer dans le jeu. Plutôt qu'un grand frisson, la Shiver en est au stade du frémissement dans le clan des roadsters frappé d'un Z qui veut dire bientôt 50 000 exemplaires.
Ceci dit, Aprilia a bien fait son travail et le fruit de son labeur est à même de suivre la même pente que celle de ses rivales. De fait, comme des dernières, elle se décline à présent en une version équipée pour les voyages au long cours, au point qu'elle va jusqu'à prétendre sans complexe à un statut de GT directement frappé sur son bulletin de naissance.
L'ABS apporte à la démarche la légitimité de bon aloi mais au regard de la base, ne risque-ton pas, malgré toutes ces bonnes intentions, de voir une grenouille qui veut se faire aussi gros qu'un boeuf ? Près de 800 kms à son guidon nous ont apporté les clés de cette fable.
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