4. Essai Harley-Davidson XL48 Forty Eight - Conclusion: Une seconde moto
Au fil de notre essai il nous est apparu une vague idée de la possible vocation de ce Sportster. Son esthétique affirmée qui sacrifie à quelques fondamentaux de l'usage au quotidien lui offre le statut de seconde moto placée dans le garage à côté de la bonne à tout faire. Ce XL48 est fait pour la virée du dimanche sous un soleil printanier ou le ciel bleu estival. Un beau matos pour profiter des senteurs de la nature et de la beauté du paysage, tout en exsudant un parfum de mauvais garçon que l'on peut assimiler aux phéromones de nos amis les bêtes.
Le twin 1 200 est une réussite, les freins sont bons au regard du reste de la famille américaine, et ce n'est pas si mal comparé à un confort général totalement oublié dans le cahier des charges. Par sa gueule, ce Forty Eight est plus qu'attachant, par son style, on aime à l'avoir dans le paysage de la moto. Et malgré son prix d'un peu plus de 10 000 euros qui ne le place guère parmi les machines à sortir à l'occasion pour le fun, il est à ce point attachant que le marché se l'arrache sans s'embarrasser de questions existentielles. Vox Populi, vox Dei !
On a aimé:
- Le Style
- La Gueule
- Le Genre
On aurait voulu:
- Avoir les moyens pour se l'offrir en second brêlon
- Avoir l'entrainement d'un Marines pour la rouler sans souffrir.
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