La future Toyota Prius cache-t-elle une nouvelle révolution technologique ?
25 ans après le tout premier modèle, la nouvelle Toyota Prius de cinquième génération cache-t-elle une petite révolution technologique dans sa mécanique hybride ? Elle sera officiellement présentée le 16 novembre prochain.
C'est elle qui a démocratisé la technologie hybride à partir de 1997. Alors que l'ancienne star des véhicules à la vocation écolo tombe un peu dans l'oubli maintenant que l'ensemble du marché automobile s'est converti aux hybrides et aux véhicules électriques, Toyota compte bien faire revenir la lumière sur sa Prius avec l'arrivée de la cinquième génération de modèle.
La philosophie générale ne changera visiblement pas trop, au vu des proportions du modèle visible dans les « teasers » de la marque : la Prius de cinquième génération prendra toujours la forme d'une compacte profilée pour les économies d'énergie, même si le design devrait être un peu moins clivant que celui de la précédente mouture. D'après les médias japonais, cette future Prius de cinquième génération pourrait reposer sur une nouvelle plateforme « E3 », utilisant à la fois des pièces de l'architecture TNGA-C à motorisations thermiques et de l'architecture e-TNGA réservée aux modèles électriques.
Hybride-hydrogène ?
Si cette Prius de cinquième génération restera bien un modèle hybride essence-électrique (avec un bloc thermique conventionnel et un petit moteur électrique), les bruits de couloir annoncent une future variante hydrogène-électrique lancée avant le milieu de la décennie, reprenant les travaux de l'étrange GR Yaris H2. Pour rappel, cette dernière utilisait du dihydrogène au lieu du carburant fossile classique pour alimenter en énergie son moteur thermique à pistons. Rendez-vous ce mercredi pour voir si la nouvelle Prius osera cette petite révolution technologique, déjà tentée à la fin des années 2000 par BMW avec sa très confidentielle Série 7 à hydrogène.
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