
Au regard des résultats de ce début de saison de Moto GP, on aurait pu s'en douter. Voilà que maintenant, on en est certain, puisque c'est Valentino qui le dit lui-même : « Ce n'est pas une bonne règle pour notre sport.
Au regard des résultats de ce début de saison de Moto GP, on aurait pu s'en douter. Voilà que maintenant, on en est certain, puisque c'est Valentino qui le dit lui-même : « Ce n'est pas une bonne règle pour notre sport.
Il était prévu pour être mis au repos et, effectivement, il est resté tranquille le matin, lorsque la piste était de nouveau mouillée. Les essais d'après Grand Prix, ce lundi, ne devaient plus intéressés un Nicky Hayden qui avait lourdement chuté la veille, peu avant l'arrivée, et alors qu'il évoluait à une belle quatrième place.
Si Jean Philippe Weber s'exprime ainsi au nom de Michelin au lendemain d'un Grand Prix national qui a tourné à la douche froide, au sens propre comme au figuré, ce n'est pas parce qu'il a pris un coup au moral. Non, c'est plutôt ainsi qu'il qualifie la nature des gommes livrées à ses clients.
Ce n'était pas le 14 juillet, mais pourtant on a eu droit à un feu d'artifice aux airs de fête nationale pendant le déroulement de la première partie de ce mémorable Grand Prix de France. Randy De Puniet et Sylvain Guintoli ont battu la mesure et étonné leur monde en donnant une prestation qui a bluffé les observateurs.
Voici une petite pub Yamaha un peu ancienne, avec un cliché humoristique déjà servi, dans l'automobile par Porches, ou la moto par Kawasaki, etc. . . mais il a toujours autant d'effet alors pourquoi s'en priver. Yamaha YZF R1, 180 ch, 12 500 rpm et de la ligne droite vraiment à n'en plus finir .
Hervé Poncharal, comme très souvent, a donné dans le ton juste au moment de faire le bilan de cet épique Grand Prix de France, qui restera dans les mémoires :"C'est un super week-end pour Dunlop Yamaha Tech 3, pour la France, et pour le public !
Ce n'est pas la première fois dans la saison que Valentino s'ouvre ainsi sur son manufacturier de toujours, mais il semblerait bien que cette fois la remarque se fasse un peu plus instante, si ce n'est même, peut être, incisive.
Revenus sur leurs terres ils avaient à cœur de bien faire. Sylvain avait déjà irradié le paddock de son coup de guidon depuis l'entame du meeting alors que Randy travaillait sur sa Kawa pour la régler aux petits oignons.
Sylvain Guintoli voulait bien faire chez lui. Sur le Bugatti, il a fait mieux que ça, il a marqué les esprits. Avec sa M. 1 du team Tech'3 équipée en Dunlop, il fait preuve de constance et de performance depuis l'entame du meeting. Jusqu'à presque éclipser son compatriote De Puniet sur une Kawasaki jugée mieux armée techniquement.
C'est dans les toutes dernières secondes que Colin Edwards a rendu la pole à Michelin sur son sol national, une pole qui, jusque là était solidement tenue par Stoner et sa Ducati. Un couple que l'on annonçait en difficulté dans la Sarthe et qui a démontré qu'il faudra encore compter sur lui.
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