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ESSAI. Renouvelée en 2024, la gamme Série 1 s'élargit à une motorisation essence 122 ch qui constitue la porte d'entrée à l'univers BMW. Reste à savoir si on en a vraiment pour son argent.
ESSAI. Renouvelée en 2024, la gamme Série 1 s'élargit à une motorisation essence 122 ch qui constitue la porte d'entrée à l'univers BMW. Reste à savoir si on en a vraiment pour son argent.
ESSAI - La nouvelle Série 1 conserve l’architecture et la silhouette de sa devancière mais change pourtant du sol au plafond. En France, la version 123 se place dans la gamme comme celle du compromis offrant un niveau de puissance honorable et une transmission intégrale, sans être trop pénalisée par le malus.
ESSAI - La version sportive de la BMW Série 1 ne s’adresse plus aux puristes de la première heure, mais elle compense son relatif manque de caractère par un malus écologique français réduit au maximum par rapport à ses concurrentes de chez Mercedes, Volkswagen ou Audi.
ESSAI - Y a-t-il un intérêt à préférer le diesel sur la nouvelle BMW Série 1 alors que sa motorisation essence est devenue remarquablement frugale ? Oui, mais seulement dans un cadre bien précis.
Pour son 20e anniversaire, la plus petite des BMW s’offre une quatrième génération avec au programme un nouveau look, une présentation intérieure inédite, mais très peu de changements mécaniques.
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