Premières images et impressions de conduite de la Skoda Octavia Combi restylée
Alan Froli , mis à jour
Après nous avoir présenté l'Octavia restylée dans sa version berline, Skoda nous propose de tester le break Combi. Voici les premières images et impressions de conduite, en direct de l'essai.
Comme la berline dont il dérive, le break Octavia combi de quatrième génération s'est offert un petit lifting, matérialisé par des optiques avant au design original, de nouvelles jantes en alliage (de 16 à 19 pouces), et des feux arrière à LED en série dès l'entrée de gamme. Affiché seulement 1 100 € de plus que le modèle classique, il offre toujours 40 dm3 supplémentaires sous la tablette du coffre, soit 640 dm3, et 145 de plus jusqu'au plafond, une fois les dossiers arrière rabattus, soit 1 700 litres. De belles capacités de chargement qui s'ajoutent à un espace habitable exemplaire, notamment au niveau des genoux.
Premières images et impressions de conduite de la Skoda Octavia Combi restylée
À l'avant, peu de changements par rapport au modèle originel sorti en 2019. Les tailles de l’écran tactile central augmentent, passant de 8 à 10,25 pouces sur la version de base, et de 12,3 à 12,9 pouces sur le haut de gamme, et le combiné d’instrumentation, revu au passage pour une meilleure résolution, est de série.
Premières impressions de conduite : vive le diesel ?
L'offre mécanique est la même que pour la berline. En essence, on retrouve le 1.5 turbo essence, très classique dans sa mouture 115 ch à boîte manuelle (même s'il reçoit un rare système de coupure de deux de ses quatre cylindres à faible charge), mais doté d'une micro-hybridation avec la transmission DSG, tant en version 115 qu'en 150 ch.
Forcément équipé de la boîte auto, le 2.0 TDI de 150 ch est toujours de la partie, et pour cause : le diesel devrait, une nouvelle fois, constituer la majorité des ventes. C'est donc sur lui que nous avons jeté notre dévolu. Un bloc toujours un peu sonore au démarrage et lors des fortes accélérations, mais qui parvient à se faire oublier la plupart du temps, d'autant que son couple important de 360 Nm dès 1 600 tr/mn lui permet d'évoluer souvent à bas régimes, pour le plus grand bonheur de la boîte auto qui n'a que peu de rétrogradages à effectuer aux allures usuelles, y compris dans les montées. De quoi assurer un confort de conduite élevé et limiter la consommation, notre modèle se contentant d'environ 5 l/100 km sur route et voies rapides.
Si cette finition Sportline dispose d'une direction plus franche et d'une suspension à la fois abaissée et affermie, le comportement manque toujours de dynamisme avec un train avant qui manque un peu de réactivité, des prises de roulis marquées et des mouvements amples en détente. Néanmoins, l'auto parvient à tourner dignement dans les passages serrés. Pour plus de détails, rendez-vous lundi pour notre essai approfondi.
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