Byd Seal: les premières images vidéo en direct de l'essai + impressions de conduite
Olivier Pagès , mis à jour
Chez le constructeur chinois, on aime les animaux. Après la Dolphin (dauphin en français), voici maintenant la Seal (phoque), une grande berline 100% électrique concurrente de la Tesla Model 3.
Tesla est devenu en l'espace de quelques années un acteur incontournable de l'électrique, mais attention un autre constructeur est en train de monter en force, il s'agit de BYD (Build Your Dream).
La marque chinoise est en train de faire une entrée fracassante dans le monde puisqu'elle est, sur les 9 premiers mois de l'année, le second constructeur électrique dans le monde derrière la firme américaine. La gamme continue de se densifier. Après le SUV compact Atto 3, la compacte Dolphin, voici maintenant la Seal.
Cette grande berline longue de 4,80 m affiche un style conventionnel mais plutôt réussi avec notamment une signature lumineuse originale. Ce côté traditionnel se retrouve aussi dans l'habitacle avec une planche de bord au dessin classique qui recèle toutefois quelques originalités comme par exemple son écran central de 15,6 pouces, qui peut être vertical ou horizontal d'une simple pression sur un bouton.
Sur le plan mécanique, cette Seal est déclinée en deux versions : la première est une deux roues motrices avec un moteur de 230 kW (soit 313 ch) tandis que la seconde cumule deux moteurs pour atteindre 390 kW (soit 530 ch). Le tout est alimenté par une batterie de 82 kWh lui permettant de revendiquer une autonomie de 570 km sur le cycle WLTP. C'est dans la région bordelaise que nous réalisons cet essai.
Premières impressions de conduite : pas mal du tout
Pour cet essai, nous avons choisi la version la plus puissante de 530 ch distribués par deux moteurs implantés respectivement à l'avant et à l'arrière. Il s'agit donc d'une 4 roues motrices. Avec son couple avoisinant les 700 Nm, les accélérations et les reprises sont particulièrement toniques. Le comportement est bon avec une direction précise et une bonne tenue de caisse, ce qui induit un bon dynamisme. Revers de la médaille, le confort est trop ferme. Bilan moyen aussi pour la consommation avec 20,9 kWh/100 km, ce qui aboutit à une autonomie réelle inférieure à 400 km.
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