2. Sur route : homogène
Dans un premier temps seules les mécaniques essence seront disponibles sous le capot de l’Arona, dont le brillant 3 cylindres issu du groupe Volkswagen. Le 1.0 TSi que nous avons testé dans sa définition 115 ch est un modèle de tonicité et d’élasticité. Avec lui sous le capot le SUV Catalan se porte garant de votre totale indépendance fournissant de larges accélérations et (très) confortables reprises. Un poil bruyant en charge et vorace à la pompe, comme tout bon 3 cylindres qui se respectent (7l/100 km, moyenne relevée durant notre test), il présente l’avantage d’être compatible avec la boîte auto DSG (option à 1 330 €) qui s’avère être un choix judicieux en matière d’agrément. Enfin, dès l’an prochain, l’Arona enrichira son offre avec le 1.5 TSi Evo de 150 ch à désactivation des cylindres et en diesel d’un 1.6 TDi décliné en deux niveaux de puissances (95 et 115 ch).
Côté châssis, Seat réalise un bon compromis entre confort et maintien, l’Arona absorbe et filtre parfaitement pour délivrer à ses occupants un très bon niveau de confort. En revanche côté dynamisme, l’ibère marque le pas. La direction manque de consistance et le train avant de tranchant dans ses changements de trajectoires. On aurait aimé une proue plus réactive aux sollicitations. Toutefois, Seat propose une version FR (non testée) qui dispose d'un châssis surbaissé et d'un amortissement piloté. Une option rare chez la concurrence généraliste.
Si techniquement il est capable d’en recevoir une, l’Arona ne proposera pas de transmission intégrale. La marque offre la possibilité, comme chez Peugeot, de bénéficier d’une aide à la motricité sur les versions puissantes.
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