L'INFO DU JOUR - Une simple petite phrase prononcée par Carlos Tavares et une note publiée par une banque d’affaires suffisent pour faire renaître le sentiment que le groupe aux 14 marques pourrait bien s’agrandir d’ici un an.
Élections européennes et dissolution de l'Assemblée Nationale : l'automobile au cœur de la tempête
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BILLET D'HUMEUR. Si le séisme provoqué dimanche soir rebat les cartes politiques françaises et européennes, elle pourrait également changer la donne en matière de transition vers la voiture électrique dans l'Union, et modifier les usages français sur la route. Pour le meilleur ou le pire ?
Malgré les difficultés passagères et inévitables quand une telle révolution s’opère dans les mobilités du quotidien, rien n'arrêtera plus la transition vers le « zéro émission ». Voici pourquoi.
Les ennuis techniques s'accumulent pour le groupe. les réseaux s'en plaignent et la direction tente de temporiser en désignant des responsables.
L'un dirige le groupe Renault, l'autre est à la tête de Stellantis. Mais si Luca de Meo gagne un peu plus de 5 millions d'euros pour l'exercice 2023, Carlos Tavares peut compter sur un matelas de plus de 36 millions. Une différence qui correspond à des résultats certes incomparables. Sauf que tous deux ont dû affronter la fronde de 30 % de leurs actionnaires qui ont quelques reproches à leur faire.
Accueillir des usines chinoises en Europe permet, certes, de créer des emplois, mais à terme, le tapis rouge déployé pourrait en supprimer de nombreux autres.
Pour le prix d'une Clio d'entrée de gamme, le chinois MG propose une citadine hybride puissante et toute équipée.
Entre le lancement de la coentreprise Stellantis - Leapmotor, la découverte de deux nouveautés signées Xpeng et le comparatif entre la Dacia Spring actuelle et le futur modèle (made in China), la semaine était placée sous la bannière de l'empire du milieu.
Invité sur le plateau de l'émission politique L'Évènement sur France 2 ce jeudi soir, le patron de Stellantis a bien entendu été interrogé sur sa rémunération, mais aussi sur l'accord qu'il a signé en début de semaine avec le constructeur chinois.
Selon le nouveau patron de DS, il faut mettre l'accent sur la qualité et le profond respect du client: "Il y a une vraie place pour du premium auto à la française!"