Les résultats financiers présentés par les constructeurs automobiles sont encourageants, la bourse en général donne des signes peu alarmants et s’offre même parfois quelques embellies. Si, de ce côté-ci de l’Atlantique, l’emploi est en berne, chez l’Oncle Sam, on s’estime proche du plein-emploi et les jobs sont légion. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait pas le taux de défaut sur les prêts automobiles.
Google met à disposition des habitants de Phoenix, en Arizona, une flotte de 500 voitures autonomes pour leurs trajets du quotidien. Une expérimentation grandeur réelle censée permettre au géant de la high-tech de reprendre une longueur d’avance sur ses concurrents.
Tesla accélère peut-être en bourse mais sur le terrain, les modèles de la marque connaissent des problèmes de freins. Pas d’affolement cependant, si rappels il y a, c’est au nom du principe de précaution. Aucun accident n’a été déploréer, mais la marque d’Elon Musk va tout de même devoir convoquer dans ses ateliers pas moins de 63 % de sa production 2016.
Il paraît que ce genre de jeu existe depuis une trentaine d'années aux Etats-Unis, mais c'est bien la première fois que l'on peut le suivre en direct sur la Toile. N'allez cependant pas chercher à suivre cet évènement d'un ennui sans nom. Le but : gagner une auto en collant une certaine partie de son corps sur l'auto. Le dernier à lâcher prise gagne la voiture.
Apple a donc obtenu la licence pour tester un véhicule autonome sur les routes de Californie. Un quitus qui remet en route le projet automobile de la firme à la pomme en l’associant à des marques automobiles. Le tout dans une démarche qui fait florès. Pour autant, l’Apple Car à l’horizon 2020 est-elle redevenue d’actualité ? Peut-être pas. Car après l’euphorie de l’annonce des essais maintenant possibles est arrivée la déception de la nouvelle au sujet des véhicules qui seront utilisés pour ces expériences.
On pensait que le projet Titan du géant Apple destiné à développer l’idée d’une voiture autonome était un colosse au pied d’argile. Mais depuis quelques semaines, on se dit que, finalement, cette démarche, c’est du béton. Voilà que la firme à la pomme croque à nouveau le sujet en obtenant l'autorisation de tester des voitures autonomes en Californie.
8 ans, en général, c'est un âge où l'on jongle entre l'école et les jeux avec les amis. Mais pour certains, à 8 ans, il est temps de conduire. Cet enfant américain a appris à conduire grâce à des vidéos sur la plus célèbre plateforme de partage de vidéos avant de piquer l'auto de son père et d'aller se chercher à manger.
Le constructeur attend beaucoup des Tiguan et Atlas pour reconquérir des parts de marché de l'autre côté de l'Atlantique. Pour se faire remarquer, il va proposer sur ces deux SUV des garanties records.
Côté impact, le coup est fumant. Et pour cause : obtenir le soutien d’un revendeur de cannabis pour financer sa saison en sport automobile, ça ne manque pas de panache. Surtout lorsqu’il s’agit de drift. Mais que l’on se rassure, les pneus seront toujours faits de caoutchouc, il ne servira donc à rien de les humer. Par ailleurs, la démarche est tout à fait légale. Donc pas de quoi se mettre en pétard.
La voiture autonome est toujours la grande idée du moment. Cependant, cette marche vers cet engin qui roule tout seul a des airs du vol d’Icare. Plus on croit se rapprocher de la solution, mieux on s’y brûle les ailes. Las accidents arrivent, montrant que la mise au point est en cours. Mais l’intérêt est là au point que des projets, tel le Phénix, voudraient comme renaître de leurs cendres. Ainsi celui d’Apple. Qui ne serait plus tout seul.