8 ans, en général, c'est un âge où l'on jongle entre l'école et les jeux avec les amis. Mais pour certains, à 8 ans, il est temps de conduire. Cet enfant américain a appris à conduire grâce à des vidéos sur la plus célèbre plateforme de partage de vidéos avant de piquer l'auto de son père et d'aller se chercher à manger.
Le constructeur attend beaucoup des Tiguan et Atlas pour reconquérir des parts de marché de l'autre côté de l'Atlantique. Pour se faire remarquer, il va proposer sur ces deux SUV des garanties records.
Côté impact, le coup est fumant. Et pour cause : obtenir le soutien d’un revendeur de cannabis pour financer sa saison en sport automobile, ça ne manque pas de panache. Surtout lorsqu’il s’agit de drift. Mais que l’on se rassure, les pneus seront toujours faits de caoutchouc, il ne servira donc à rien de les humer. Par ailleurs, la démarche est tout à fait légale. Donc pas de quoi se mettre en pétard.
La voiture autonome est toujours la grande idée du moment. Cependant, cette marche vers cet engin qui roule tout seul a des airs du vol d’Icare. Plus on croit se rapprocher de la solution, mieux on s’y brûle les ailes. Las accidents arrivent, montrant que la mise au point est en cours. Mais l’intérêt est là au point que des projets, tel le Phénix, voudraient comme renaître de leurs cendres. Ainsi celui d’Apple. Qui ne serait plus tout seul.
C’est le symbole d’un écart conséquent entre deux mondes qui font débat : celui de la finance et de l’économie réelle. Pour le coup c'est un choc électrique. Tesla nous éclaire en effet sur ce courant si particulier qu’il est réservé à des initiés branchés. Ainsi, aux États-Unis, Tesla est carrément devenu le deuxième constructeur automobile. Avec ses moins de 100 000 voitures produites par an, la marque pousse Ford et les six millions de véhicules sortis de ses usines. Mais en bourse, on raisonne différemment.
Vous avez toujours voulu en avoir une grosse mais vous devez vous contenter d’en manipuler une petite. C’est la magie du modélisme qui offre des voitures miniatures aux airs de bolide à l’échelle 1. Les progrès n’ont pas manqué ces derniers temps, mais il reste le cas de la télécommande qui vous rappelle à la réalité. Encombrant et pas très intuitif. Mais voici une idée qui va faire obéir votre engin au doigt et à l’œil.
Avec son amende payée de 23 milliards de dollars et sa reconnaissance de culpabilité, on aurait pu penser que Volkswagen en avait enfin fini avec son « dieselgate » aux États-Unis. Le règlement des différentes plaintes liées à l’utilisation sur certaines de ses voitures de logiciels destinés à déjouer les tests d’émissions polluantes était lancé. Et ses voitures viciées mais remises aux normes en attente sur un parking depuis 2015 allaient pouvoir être enfin écoulées. Fin de l’histoire ? Non.
Voici un concept venu des États-Unis et destinés à la gent féminine écartelée entre le désir de mettre ses mains dans le cambouis et l’exigence d’une manucure irréprochable. Un cas de schizophrénie aiguë ? Que nenni. Les cas existent et que les plus sceptiques s’apprêtent à mettre les pouces : voici l’enseigne Girls Auto Clinic qui propose les deux services, payés rubis sur l’ongle.
C’est une nouvelle dont se serait bien passé le constructeur Ford. La marque de Dearborn va devoir mettre la main à la poche et ouvrir ses concessions pour deux campagnes de rappels de ses véhicules. Deux incidents différents à rectifier, dont un, tout de même, agace l’ovale bleu depuis déjà 2014.
C’est un quitus pour un retour à la normalité, un rabibochage après une fâcherie légitime des autorités américaines à l’égard du groupe Volkswagen. En cause, cette manipulation sur les moteurs diesels au moyen d’un boîtier électronique faussant les résultats des normes antipollution. Les modèles concernés n’avaient plus droit de cité. Les voici revenus en odeur de sainteté.