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Pour le chantre du "six en ligne", l'inflexion générale vers l'électrique est d'ores et déjà actée.

Tandis que le monde l’automobile s’apprête à repartir pour un nouveau millésime, saluons l’arrivée du 71e opus de notre vénérable confrère, L’Année Automobile, qui ouvre un nouveau chapitre de son histoire sous la baguette d’un nouveau rédacteur en chef. 

Ces deux voitures que tout oppose se disputent le titre de championne d’Europe des ventes.

L'Europe a finalement décidé de ne pas durcir les règles relatives à la pollution des voitures thermiques neuves, mais elle impose de nouvelles limites qui touchent même les autos électriques.

En Europe comme aux Etats-Unis, la clientèle ne se rue pas encore sur les voitures électriques. Mais alors, quel est le problème exactement ?

Mais qui achète encore sa voiture? Pas les automobilistes français, qui en octobre sont 58% à avoir financé leur véhicule neuf par l'intermédiaire d'une location longue. Si ce type de formule dynamise le marché, il comporte des pièges pour le client. De plus, les organismes prêteurs seront bientôt soumis à des règles plus sévères.

Luca de Meo, président de l'Association européenne des constructeurs automobiles, assure qu'il n'y aura pas de retour possible sur l'électrique.

Comme nous l’avions pressenti, les nouveaux Peugeot 3008 et Renault Scénic se retrouvent dans la sélection des sept modèles candidats au titre de la voiture européenne de l’année 2024. Le Volvo EX30 fait aussi partie des autos capables de gagner.

Comme BYD et MG, Great Wall Motors compte bien s'imposer en Europe. Pour cela, le constructeur chinois a décidé de simplifier un peu ses gammes.

En Europe, ce sont une citadine roumaine et un SUV électrique américain qui se taillent la part du lion depuis le début de l’année. Les autres constructeurs résistent, certes, mais avec des produits toujours plus interchangeables.