Blaise Matuidi, la star du Paris Saint Germain, soit le club de football bien connu, se serait-il mis hors-jeu dans une sombre affaire de société de location de voitures ? Le voilà en tout cas sous le coup d’un carton jaune de la part de la justice qui est allé droit au but en ouvrant une enquête en flagrance le 6 juillet dernier pour recel d'abus de confiance, escroquerie, usurpation d'identité, faux et usage de faux documents administratifs. La victime ? Mercedes.
C’est un petit miracle qui s’est produit dès potron-minet sur l’autoroute A10 du côté de Tours. Alors qu’un bus transportant des adolescents belges faisait sa route, une balle l’a traversé de part en part. Aucun blessé n’est à déplorer. Les investigations sont en cours.
Quelle drôle d’époque vivons-nous là. Tout s’accélère si vite que l’avenir semble déjà appartenir au passé et nous voilà dans une France en marche qui n’a choisi ni droite ni gauche. Mais chassez le naturel et il revient au galop. Dans la vie, il faut choisir son côté et, à Calais, on a même décidé de virer de bord. Une étonnante cité où l’on empêche des migrants de partir pour la Grande Bretagne tandis que la caste politique locale veut faire venir des Anglais à tout prix. Y compris en les autorisant à rouler à… gauche…
C’est l’épilogue d’une affaire commencée en 2014 avec l’apparition d’un UberPop qui faisait entrer le principe du covoiturage dans l’ère des services tarifés. Sa mise en application l’année suivante avait exaspéré les chauffeurs de taxi au point d’attirer l’attention des autorités françaises. Celles-ci ont alors considéré cette démarche comme d'un service de transport illégal et échappant à toute réglementation. UberPop a donc été interdit et pour faire valoir ses droits, la société américaine a joué la carte de la justice européenne. Qui lui a donné tort.
Uber se fait remonter les bretelles partout dans le monde à cause de sa conception très lâche du métier de transport de la personne. La même enseigne a aussi décidé que son patron et fondateur ne blanchirait plus sous le harnais. Une conjoncture qui aurait tendance à mettre à mal une réputation, si bien qu’il était temps de se racheter une conduite. C’est le cas avec ce partenariat passé avec la vertueuse Prévention routière pour communiquer sur les bienfaits du port de la ceinture de sécurité.
Le premier semestre s'est terminé avec une petite hausse de 1,6 %. Si Renault est toujours en tête du classement des constructeurs, son score de juin est mauvais. Volkswagen est aussi à la peine. C'est en revanche la fête chez Peugeot, Seat et Mercedes.
C’est une confusion qui a fait florès, obligeant la Sécurité routière à faire une mise au point. Un chassé-croisé digne des grandes transhumances estivales et qui a créé un bouchon d’incompréhension. La faute à un sondage qui a fait état de certains comportements des Français au volant sur fond de nouvelles infractions annoncées au premier juillet. La collision nécessitait un constat de la part de la délégation à la sécurité routière.
Au mois de mai dernier on apprenait le départ, avec effet immédiat, de celui qui était à la tête du directoire de Volkswagen en France. Jacques Rivoal quittait ainsi ses fonctions de président. À la tête de VW France depuis 2013, on pensait alors qu’il payait le scandale des logiciels truqués sur les moteurs diesels du groupe. En fait, pas du tout.
Un orage qui s’abat, c’est une grosse colère du ciel qui peut révéler de mauvaises surprises, généralement synonyme de dégâts qui donnent des sueurs froides aux assurances. Mais les mêmes intempéries peuvent donner des coups de chaud sur la route. Au sens propre comme au figuré. Ainsi ces deux faits, tout feu tout flamme, qui ont été répertoriés l’un à côté de Dijon, et l’autre non loin de Nice…
Les derniers chiffres sur la sécurité routière récemment tombés ont donné lieu à une succession de réflexes pavloviens affligeants. La canicule n’y est pour rien mais le délire collectif pour beaucoup tandis qu’à la veille des transhumances estivales, c’est l’opportunité rêvée de préparer les esprits à la fiscalité routière qui s’élargit du péage autoroutier scandaleux à la hausse des carburants opportuniste, sans oublier, bien sûr la répression. Autant de démarches qui ne sauveront aucune vie. Car l’hallucination générale a occulté le vrai état des lieux livré pourtant par les chiffres : le bilan routier est bon. C’est la rue qui tue.