Après le tollé provoqué par l’initiative l’an dernier, on croyait l’affaire enterrée. Mais pas du tout. Les députés l’ont remise au goût du jour ce qui risque d’être peu au goût des associations luttant contre la violence routière. De quoi s’agit-il ? Du principe d'amendes forfaitaires pour sanctionner les délits de conduite sans permis et de conduite sans assurance. Qui vient d’être remis sous la lumière des projecteurs par la représentation nationale.
Annoncé en grande pompe en début de semaine, le nouvel examen du code de la route a livré ses premiers résultats. Avec ses questions inédites, ses thématiques jusque-là inconnues sans oublier des moyens matériels de dernier cri, politiques et professionnels attendaient le verdict. Et il est cinglant : alors que le taux de réussite à l’épreuve tournait jusque-là aux alentours de 70 %, on constate une hécatombe puisque le même taux n’arrive pas à se hisser à 17 %.
La rémunération de Carlos Ghosn n’est pas un sujet clos. Preuve en est, cette journée passée à l’Assemblée Nationale où le nom de celui qui préside aux destinées du groupe Renault-Nissan a été prononcé. Et pas pour des félicitations. Au contraire, c’est le ministre de l’Economie qui est monté au créneau, appelant au sens des responsabilités de l’intéressé.
Les mois s'enchaînent et se ressemblent pour le marché français qui poursuit sa croissance entamée en 2015. Le mois dernier, il s'est immatriculé en France 181 830 véhicules neufs, ce qui représente une hausse de 6,5 %, à jours ouvrables comparables. Mieux encore, sur les quatre premiers mois de l'année, la croissance atteint 7,7 %.
C’est un des volets du nouveau plan « Push to pass » d’un groupe automobile PSA qui est « back to the race ». Et, pour le coup, on y pousse pour passer dans des chemins de traverse. Car les constructeurs de voitures Peugeot et Citroën ont pris la mesure de la nouvelle appréhension de leurs produits. Plutôt que de s’entêter dans le cœur de métier, les tricolores ont décidé de prendre l’air en n’allant pas à contre-courant. Qu’on se le dise, ils vont aller ailleurs.
Fessenheim n’est pas un nom inconnu pour peu que l’on suive l’actualité. Il s’agit de la localité située en Alsace dont la renommée vient d’une centrale nucléaire vieillissante que beaucoup aimeraient voir fermer. Des écologistes aux antinucléaires, les deux faisant souvent la paire, jusqu’à nos voisins, ce n’est rien de dire que le site agace, au point que nos dirigeants ont promis sa fermeture. Certes, mais après ? Ségolène Royal a une idée. Originale bien sûr.
Le prix au litre du gazole et du sans-plomb s'étaient un temps nettement rapprochés, mais cela est déjà loin derrière nous. Le tarif de l'essence s'est envolé ces dernières semaines tandis que celui du gazole est stable, voire légèrement à la baisse.
L’usage fait de la voiture change. Autrefois conquête mécanique d’une liberté individuelle conjuguée avec l’affirmation d’un statut social, l’automobile glisse doucement mais sûrement vers un objet de consommation lambda à utilité de déplacement circonscrite. Une philosophie matérialisée par le phénomène du covoiturage. Mais ce n’est pas qu’une mode. Sa généralisation annoncée pourrait même faire mal à toute l’industrie automobile.
Entre ses soucis avec un moteur diesel truqué qu’il faut mettre aux normes et des airbags Takata susceptible de tuer conducteur et passager dans un déclenchement intempestif, les mécaniciens des concessions de Volkswagen ont pas mal de travail en ce moment. Apparemment, ce n’est encore tout à fait assez. Le plan de charge vient de s’alourdir avec cette campagne de rappel touchant la nouvelle Passat dans toute l’Europe.
C’est un succès grandissant et elle fait florès non seulement dans les rues mais aussi sur les routes. Celle-là est la Renault Zoé bien branchée sur son époque et avec qui le courant passe sur le marché. Un intérêt qui ne semble pas connaître de frein, mais c’est pourtant à cause d’une canalisation apportant du liquide à ce dernier que la plus électrique des Renault va devoir se rendre à l’atelier.