Vous êtes toujours passionnés par le « Dieselgate » et vous attendez la suite d’une affaire en Allemagne sur une entente présumée entre les constructeurs automobiles allemands sur le prix de l‘acier ? Voici de quoi agrémenter encore votre intérêt avec un cartel des camions qui rassemble quelques poids lourds du secteur. Une collusion dénoncée par l’Europe qui, en infligeant de belles amendes, a décidé de ne pas rester à la remorque.
Entre Volkswagen et les Etats-Unis, on s’est mis d’accord sur une première somme globale de 15 milliards de dollars pour indemniser les propriétaires de véhicules de la marque désignés par le « dieselgate ». Ces voitures sont aussi vendues en Europe, mais l’automobiliste du vieux continent qui roule avec un diesel sciemment truqué par le constructeur allemand n’aura droit à rien si ce n’est un passage par la concession pour un rappel et une poignée de mains. Une différence de traitement qui fait tousser et pas à cause des émissions polluantes.
Chaque jour suffit sa peine chez Volkswagen. Encore et toujours pris dans le tourbillon du scandale sur ses moteurs diesels qu’il a truqué au moyen d’un logiciel les rendant écologiquement vertueux, le constructeur voit sa morale un peu plus écornée par cette nouvelle situation : pour limiter l’ampleur des révélations et retarder les investigations dont il fait l’objet, il aurait détruit des données compromettantes.
La Corée du Sud semble être partie pour vérifier l’était de tout ce qui roule comme automobiles dans son pays. Une démarche que l’on peut considérer comme la suite de l’onde de choc planétaire provoqué par un scandale Volkswagen sur le contrôle des émissions polluantes. Le pays du matin calme s’est agacé le mois dernier sur Nissan. Voilà à présent qu’il s’énerve sur Volkswagen.
C’est une affaire judiciaire qui fait froid dans le dos. Et qui interroge à nouveau sur les coulisses de l’automobile, celles qui concernent le marché de l’occasion et le métier d’expert. Mis en cause pour des faits d’homicide involontaire, après un accident mortel, un automobiliste s’est vu mis hors de cause. L'enquête avait démontré que le mis en cause avait été victime d'une escroquerie montée par des experts automobiles de mèche avec des garagistes véreux.
L'entité Jaguar-Land Rover (JLR) ne compte pas laisser Land Wind commercialiser son X7 -un clone du Range Rover Evoque- impunément. Après voir eu gain de cause sur la tentative d'exportation du modèle au Brésil, le groupe attaque maintenant le constructeur asiatique sur ses terres en Chine.
La marque à l'étoile Mercedes a perdu son combat en justice contre l'inventeur du chauffage de nuque Airscarf Ludwig Schatzinger. Les modèles équipés outre-Rhin n'auront plus le droit d'en bénéficier. Un dédommagement lui sera également versé pour chaque voiture vendue avec cette technologie.
Le constructeur Volkswagen est maintenant aguerri à voir son service juridique crouler sous les plaintes. La faute à son moteur diesel truqué écoulé à 1 million d’exemplaires à travers le monde. Mais il est des plaintes plus dangereuses que d’autres. Celles venant des États-Unis par exemple sont particulièrement évaluées. Et pour cause : la dernière en date pourrait coûter à la marque allemande 15 milliards de dollars.
Il est des histoires de famille qui ne manquent pas de piquant lorsqu’il s’agit d’automobile et de sécurité routière. Voici la dernière en date qui s’est déroulée en Belgique, mais qui n’a rien d’une blague. Vous avez aimé la petite fille ramenant son père alcoolisé au volant de la voiture familiale ? Alors vous allez adorer le garçonnet de 9 ans aux commandes d'une Porsche Cayenne lancée à plus de 90 km/h en agglomération.
Il a récemment reçu un César pour son rôle dans le film « La tête haute », mais la même est aujourd’hui basse pour l’acteur Benoît Magimel. Ce dernier est en effet en garde à vue pour s’expliquer sur un accident corporel de la circulation commis le 11 mars à Paris dont il porterait la responsabilité. Il était aussi sous le coup d’une annulation de son permis de conduire.