La courbe de croissance de Ferrari ne s'est pas tassée ces dernières années, et avec plus de 9200 ventes l'an dernier, il paraît de plus en plus probable de voir le cheval cabré dépasser les 10 000 unités. Pour la première fois de son histoire, et sûrement pas la dernière.
Alors qu'elles ont continué de baisser en France, les ventes de voitures diesels ont connu une progression chez nos voisins allemands en janvier.
L'Allemagne a finalement refusé d'introduire une limitation de vitesse sur les autoroutes. Un choix finalement peu étonnant dans un pays qui aime les voitures puissantes. L'an dernier, la puissance moyenne d'une auto neuve était de 153 ch outre-Rhin.
L'an dernier, Porsche a pour la première fois de son histoire dépassé les 30 000 employés à travers le monde. Des effectifs en constante augmentation depuis des années, et la croissance, tout comme celle des ventes, ne semble pas vraiment faiblir.
Pas de changement dans les grandes tendances du marché français de ces dernières années. Mais celles-ci ont été accentuées en ce début d'année 2019.
L'année démarre avec une petite baisse, - 1,1 %. Comme en 2018, Peugeot commence en tête, mais est le constructeur français qui souffre le plus. Volkswagen se relance. Ford et le groupe Fiat débutent bien mal 2019.
Un pays aussi fier de ses racines que la Suède doit certainement sourire à la vue des résultats de ventes de son joyau automobile : Volvo. La marque a largement dépassé les 600 000 ventes en 2018, et est parfaitement dans les temps pour atteindre son objectif de 800 000 ventes annuelles dès 2020. A ce rythme, Volvo pourrait presque se voir pousser des ailes… et titiller Audi ? Nous en sommes encore très (très) loin, mais qui sait, un jour peut-être.
Les groupes Renault et Nissan, accompagnés de Mitsubishi, ont écoulé 10,76 millions de véhicules dans le monde en 2018. Le groupe Volkswagen a pointé à 10,83 millions, en comptant ses poids lourds.
Malgré un âge canonique, la petite Fiat a réalisé sa meilleure année sur le Vieux Continent en 2018, avec pas loin de 200 000 exemplaires écoulés.
La rumeur de l'association entre BMW et Mercedes pour réduire les coûts et pouvoir investir dans l'électromobilité n'est finalement pas le seul grand changement potentiel de l'automobile allemande. Audi pourrait en effet supprimer 14 000 postes d'ici 2022 pour économiser 15 milliards d'euros. Toujours dans le but de dégager des fonds pour d'autres domaines que la conception des autos à proprement parler.
SPONSORISE
