Censé taxer les véhicules thermiques les plus puissants et chers, le nouveau malus écologique français de 2024 condamne toute une catégorie de voitures plutôt destinées aux familles et aux « classes moyennes » désireuses de se faire un peu plaisir. Avec des cas particuliers où le nouveau barème paraît totalement absurde.
À partir du 1er janvier 2024, un nouveau barème du malus s’appliquera, de façon plus sévère. En plus de débuter à un seuil plus bas, le malus maximal grimpera à 60 000 € et ne sera plus plafonné.
Hyundai lance une campagne de promotion allant de 3 000 à 5 100 € jusqu'à la fin de l'année sur ses berlines électriques Ioniq 5 et Ioniq 6. Le but est de faire profiter ses clients du bonus écologique.
Le Conseil européen a tranché, la norme Euro 7 n’introduira pas de nouvelles contraintes pour les constructeurs puisqu’elle restera identique à l’Euro 6 déjà existante.
Les véhicules électriques font des émules au point que certains de leurs adeptes les mettent en compétition. C'est le cas de Monaco Développement Durable qui organise le Riveria Electric Challenge : un rallye de deux jours qui mêle écoconduite et épreuves de régularité en France mais aussi en Italie, auquel nous avons participé avec un Kia Niro EV.
Le premier ministre britannique estime que les précédents gouvernements ont menti au peuple sur le réalisme d’interdire la vente de voitures thermiques neuves dès l’année 2030.
La recharge, c'et le nerf de la guerre si on veut développer le véhicule électrique. Tesla en développant son propre réseau a pris une longueur d'avance sur bon nombre de constructeurs. Aujourd'hui, Volkswagen souhaite rattraper son retard d''où la mise en place d'un réseau dédié
Même si les zones à faibles émissions ont récemment été assouplies, leur mise en place a été un sujet de préoccupation pour les automobilistes concernés. Ont-elles pour autant incité à acheter des voitures plus récentes ?
Les détails du financement de la voiture électrique à 100 € par mois pourraient être dévoilés le 14 juillet, pour un décret publié en septembre et une mise en application dès l’automne.
Quand un aréopage d’experts du climat, d’économistes, d’historiens et d’ingénieurs se réunissent pour signer une tribune, on se précipite, avide de connaître leurs solutions. Mais au bout du bout de leur texte, ils ne proposent, pour décarboner nos routes, que des actions déjà entreprises ou en voie de l’être et la création d’un énième comité Théodule pour réfléchir à la question. Autant ne rien faire.