Toute l'actu Pollution

L’essor de la voiture autonome poserait deux problèmes d’ordre écologique : la grosse consommation d’énergie de leurs systèmes informatiques et celle d’une probable augmentation de la fréquence d’utilisation des voitures.

S’il y a actuellement un pic de pollution en Ile-de-France, à Lyon et dans l’Ouest, c’est à cause du chauffage au bois dont les particules se combinent avec celles issues de la pollution automobile. Mais alors que l’automobile est souvent montrée du doigt, ce problème du chauffage au bois semble plus tolérable.

La consommation réelle très supérieure aux chiffres annoncés par les constructeurs de voitures hybrides rechargeables, même lorsque les batteries sont pleines, est à nouveau pointée du doigt par une étude de Transport & Environnement.

Réduire l’activité automobile permet de baisser la pollution de l’air. Mais de façon antagoniste, cela contribue aussi à augmenter la concentration problématique de méthane comme l’a montré une étude publiée dans la revue Nature.

Présenté le mois dernier par la Commission européenne, le projet de loi qui fixe les contours de la future norme Euro7 concernant la pollution et les émissions des véhicules vendus en Europe à partir de 2025 fait grincer des dents du côté des constructeurs.

Même si les normes Euro7 sont finalement moins drastiques que prévu pour les constructeurs automobiles en matière d’émissions polluantes, BMW estime qu’elles vont augmenter le prix des voitures dans de grosses proportions pour rien.

Sacré diesel! Bien que donné mourant, il continue de séduire nombre d'automobilistes. Est-il encore capable de nous suprendre?

En 2026, l’Europe pourrait opter pour une clause de revoyure sur l’objectif de 100 % de voitures électriques neuves en 2035. À la clef, un sursis ou une grâce pour le moteur thermique, mais cela n’aurait pas grand-chose à voir avec l’écologie…

La commission européenne vient de présenter son projet de loi de la future norme Euro7 réglementant les émissions et la pollution des moteurs des voitures vendues sur le Vieux Continent. Comme prévu, les niveaux évoqués sont bien moins restrictifs que ce que craignaient les constructeurs depuis l'année dernière.

Grâce à une clause de revoyure prévue en 2026, le gouvernement français veut éviter de se retrouver dans une situation catastrophique à cause de l'interdiction des voitures thermiques en 2035 prévue en Europe.