La première station-service 100 % électrique de la Capitale vient d’être officiellement inaugurée aujourd’hui. Un modèle de futures stations-service urbaines pensées au-delà de la simple mise à disposition de bornes de recharges.
Les règles de l’URSSAF permettant de recharger sa voiture électrique ou hybride gratuitement sur son lieu de travail pourraient ne pas être reconduites en 2025.
D’ici cinq ans les autorités estiment que le nombre de véhicules électriques en circulation va quadrupler en France. Il apparaît urgent d’équiper les immeubles en bornes de recharges, d’autant qu’il est possible de le faire pour zéro euro.
Voilà une nouvelle étude intéressante pour savoir si les automobilistes français passés à la voiture électrique sont heureux de leur choix. Les résultats sont positifs et ne concernent quasiment que des profils pour qui ces autos sont le plus faciles à utiliser.
Un rapport public s'alarme des commissions trop élevées perçues par les sociétés d'autoroutes sur les recharges électriques, au détriment des opérateurs mais aussi - et surtout - des automobilistes.
Le débat est aussi ancien que la voiture électrique : peut-on, ou non, traverser le pays avec une telle auto ? Surtout si l'on est un ignare totale des méthodes de recharge ? Nous nous sommes lancé en parfaits néophytes du genre à l'assaut de l'autoroute et de ses bornes sans aucune préparation.
Dès cet été, deux aires de repos de l'A10 disposeront de bornes à haute puissance, ce qui permettra d'éviter la congestion dans certaines stations-services. Et sept autres aires suivront rapidement.
L'INFO DU JOUR. Situé sur l’A10 entre Paris et Orléans, ce tronçon de 2 km de route électrifiée permettra de tester des poids lourds, des bus, ainsi que des véhicules légers.
L'INFO DU JOUR. Opérations spéciales, promos, baisse des prix. Les opérateurs rivalisent d’élégance pour flatter le porte-monnaie des automobilistes. Caradisiac s’est frayé un chemin dans la jungle tarifaire des recharges électriques.
Selon une étude du cabinet McKinsey, un peu moins d'un tiers des automobilistes passés à l'électrique dans 15 pays du monde souhaitent revenir au thermique. En cause : le manque d'infrastructures, le peu d'autonomie et le prix des autos. Mais ce taux de rejet est un peu inférieur en Europe.