Rétromobile ouvre ses portes la semaine prochaine et comme d'habitude, plusieurs ventes aux enchères seront organisées en marge du salon. La vente de la maison anglaise Bonhams fera un peu de place à une Mercedes 280 SL de 1969 pour la bonne cause, à savoir la Fondation de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris pour la recherche en faveur des victimes des attentats.
La Maserati Bora est une sportive intéressante qui a marqué l'histoire de la marque. Lancée en 1971 elle devait remplacer la Ghibli tout en venant en concurrence directe de la célèbre Lamborghini Miura. Sacré challenge.
Nous l'avons vu hier, certains constructeurs ont une place à part entière à Rétromobile. Au même titre que Mercedes, DS, qui est aujourd'hui une marque, aura son exposition à la Porte de Versailles avec quelques-unes des plus importantes autos labellisées DS.
La photo que nous vous réservons aujourd'hui met la Porsche 911 Speedster à l'honneur. Une déclinaison dont la valeur repose plus sur l'originalité de son concept et sa rareté, que sur ses caractéristiques techniques pures.
La photo que nous vous proposons aujourd'hui fait la part belle à une italienne racée, la Ferrari 365 GTC/4 qui se caractérise par son style typique des années 70.
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Chaque année, le salon Rétromobile est l’occasion de (re-)découvrir de petites merveilles parfois oubliées de tous, ou que l’on croyait disparues à jamais. C’est ainsi que l’un des clous de l’exposition 2016 sera constitué par cinq voitures rhomboïdes, c’est-à-dire dotées de roues disposées en losange, et qui se caractérisent toutes par un design hors-normes. Caradisiac a même pris place à bord de la plus spectaculaire d'entre elles, l'Automodule.
Ferrari reste aujourd'hui un constructeur à part entière et est probablement celui qui a le plus conservé son identité au fil des décennies. Intact, donc, l'aura de Ferrari, mais il est tout de même bien regrettable, le passé du cavallino rampante !
La photo d'aujourd'hui fait la part belle à une ancienne gloire, que les amateurs de rallye connaissent bien, l'Opel Manta. Une B 400 de compétition immortalisée durant l'évènement des Grandes Heures de l'Automobile.
La Ferrari 250 GTO est probablement ce qui se fait de plus désirable dans le monde automobile, toutes époques et catégories confondues. Mais avec un prix de vente souvent au-delà des 20 millions d'euros et une production limitée à 36 exemplaires, il est presque impossible d'en voir rouler sur route ouverte. « Presque », puisque Petrolicious nous emmène sur route (fermée, dans le cas présent) à bord d'un exemplaire avec le pilote Derek Hill à son volant. Jouissif.
Plus tôt dans l'année, nous vous parlions d'un projet un peu spécial venu tout droit de République Tchèque, la R200 par « Hoffmann & Novague ». L'auto n'était pas qu'un simple concept de salon puisqu'elle roule, et plutôt librement, la preuve, sur circuit.
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