Essai - Skoda Superb Combi Offroad : histoire d’appellation

Avant tout, une petite précision syntaxique car il faut bien reconnaître que la logique en terme d’appellation chez Skoda devient difficile à suivre : la version baroudeuse du Yeti s’appelle Outdoor, celle de l’Octavia est dénommée Scout, et celle de la Superb Offroad.

Pour en revenir à cette version Offroad, il s'agit tout simplement de la version break dénommée Combi, mais qui a bénéficié de quelques spécificités esthétiques portant principalement sur l’adoption d’un kit carrosserie spécifique composé des pare-chocs avant et arrière gris anthracite, d’un diffuseur arrière avec partie basse du pare-chocs type aluminium brossé, de diverses protections sur la carrosserie ainsi que de jantes alliage 18 pouces spécifiques. Des évolutions qui apportent un peu de peps aux lignes relativement classiques de la Superb.

Dans l’habitacle, aucune évolution par rapport à une Combi classique. La planche de bord est sans surprise avec une fabrication de bonne facture tant au niveau des matériaux que de l’assemblage. Mais le point fort de cette Superb reste sans aucun doute possible son habitabilité, tout simplement remarquable et digne quasiment d’une limousine. Le volume de chargement est moins exceptionnel mais tout de même particulièrement agréable avec une capacité oscillant entre 600 et 1 835 litres. Bien mais inférieure à celle d’une Volkswagen Passat SW, par exemple.

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