La quatrième génération du MX-5 est à l’évidence une grande réussite, avec sans conteste un palier de progression supérieur aux deux précédentes, malgré quelques réserves sur le caractère sportif des mécaniques.
Le plus remarquable avec le roadster Mazda depuis ses débuts, qui n’est pas le plus vendu de toute l'histoire automobile pour rien, c’est qu’il réussit toujours à combler les attentes de clientèles opposées : satisfaire à la fois les férus de plaisir de conduite qui disposeront d’une propulsion relativement efficace (2.0), et avec les deux moteurs, l’automobiliste hédoniste à la recherche d’un mignon cabriolet amusant à mener tout en restant sûr, confortable, bien fini et très correctement équipé. En attendant la version coupé-cabriolet courant 2016, la bonne nouvelle provient des tarifs stables d’une génération à l’autre.
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