
Voilà un casse-tête bien compliqué pour les ingénieurs : faire du moteur essence l'élément de transition idéal en attendant la démocratisation de l'électrique, en ces temps où le diesel perd du terrain. Mais avec des règles plus strictes (cycle d'homologation, normes, malus sur le CO2...), les constructeurs ont-ils les moyens de rendre le moteur essence aussi efficient que son homologue diesel ?