L'un dirige le groupe Renault, l'autre est à la tête de Stellantis. Mais si Luca de Meo gagne un peu plus de 5 millions d'euros pour l'exercice 2023, Carlos Tavares peut compter sur un matelas de plus de 36 millions. Une différence qui correspond à des résultats certes incomparables. Sauf que tous deux ont dû affronter la fronde de 30 % de leurs actionnaires qui ont quelques reproches à leur faire.
Invité sur le plateau de l'émission politique L'Évènement sur France 2 ce jeudi soir, le patron de Stellantis a bien entendu été interrogé sur sa rémunération, mais aussi sur l'accord qu'il a signé en début de semaine avec le constructeur chinois.
À quelques heures de l'assemblée générale du groupe qui a approuvé les 36,5 millions d'euros au total que doit percevoir son directeur général, celui-ci s'est exprimé devant quelques médias, dont Caradisiac. L'occasion, également, pour le patron de Stellantis, de revenir sur le changement de nom du SUV Alfa Milano, et de livrer son opinion sur les choix européens.
Le patron de Ford Jim Farley a gagné plus d’argent que la plupart des pilotes de Formule 1 en 2023, mais il reste loin derrière le directeur de Stellantis Carlos Tavares. Son joli salaire a irrité les syndicats américains.
Cette semaine, Yamaha a dévoilé le nouveau nom de son usine de Saint-Quentin (Aisne), mais également une chaîne d’assemblage dédiée aux moteurs pour vélos à assistance électrique. L’occasion de nous entretenir rapidement avec Xavier Bertrand, président de la région Hauts de France.
Conforté par les excellents résultats du groupe Stellantis en 2023, son directeur général a plus que doublé sa rémunération pour l'année dernière. Il devrait toucher au total 36,5 millions d'euros.
Le boss de Stellantis suscite toujours autant de rumeurs. Après celle de la fusion de son groupe avec Renault, surgit celle de sa succession. Et qui serait le mieux placé pour le remplacer si ce n'est le patron du losange ?
À l’occasion de la publication des résultats 2023 de Stellantis, Carlos Tavares a accordé un entretien à quelques médias dont Caradisiac. L’occasion de commenter l’actualité française, comme l’arrêt brutal du leasing social, mais aussi d’évoquer la conjoncture à venir et même son éventuelle succession en 2026.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Engagé dans une stratégie "zéro carbone", le Vatican va progressivement électrifier son parc automobile. Début novembre, deux VW ID.3 sont ainsi entrées dans les ordres.
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