Renault va étudier la possibilité de se réorganiser en deux pôles, pour séparer les activités liées à l'électrique et celles liées au thermique.
Selon une enquête mondiale publiée jeudi par le cabinet Deloitte, la grande majorité des consommateurs n’est actuellement pas prête à payer sa voiture plus chère. Même si cela signifie renoncer aux technologies les plus modernes.
De plus en plus de bornes déployées, une offre qui se diversifie chez les constructeurs, et des utilisateurs séduits : la voiture électrique pousse peu à peu ses pions. Pour autant, de nombreux freins à son développement se dressent encore, à la fois financiers, sociétaux, industriels et tout simplement techniques. Etat des lieux.
Malgré une période difficile pour le marché automobile, les résultats financiers de l’année écoulée et dévoilés aujourd’hui par Renault Group sont plus que satisfaisants. Avec des perspectives financières largement dépassées en 2021, Renault Group peut plus que jamais se tourner vers l’avenir sereinement.
Lors d'un déplacement de ministres européens à Lyon, des véhicules électriques ont été utilisés. Mais pour les recharger, on a fait appel à des groupes électrogènes fonctionnant au gazole !
Les ventes européennes ont été au plus bas pour un mois de janvier. Si Volkswagen domine, Toyota a doublé Peugeot. Les coréens sont en forme.
Euro NCAP a évalué la dotation sécuritaire des utilitaires. Si les fourgons adoptent de plus en plus d'aides à la conduite, celles-ci restent souvent facturées en supplément.
En janvier, le nombre de morts sur les routes a augmenté par rapport aux années précédentes. 260 personnes ont perdu la vie dans ces circonstances.
Plus de 80 % des acheteurs de Dacia en 2021 avaient déjà une Dacia. Toyota a également des clients très fidèles.
Cela devait arriver et c’est arrivé : le prix des carburants s’envole, réveillant les gilets jaunes et étranglant les gros rouleurs. Pourquoi ne l’avons-nous pas anticipé ?
Dans la rubrique Economie / Politique