
Au pouvoir depuis 16 ans, la première ministre allemande quittera son poste à la fin du mois. Celle que les médias germaniques ont souvent surnommé "l'autokanzlerin" (la chancelière de l'automobile) a-t-elle réellement défendu les acquis et le futur de la première industrie allemande ? La réponse est plutôt normande, car si son bilan plaide pour elle en ce qui concerne les acquis, les constructeurs locaux lui reprochent de ne pas avoir su anticiper l'avenir.