Renault progresse vite en Chine, avec une croissance soutenue en 2017. Mais la marque au losange part de zéro, et elle compte atteindre assez rapidement les 400 000 ventes annuelles. Une barre qui pourrait être franchie grâce à la vente en ligne, dans le cadre d'un partenariat entre Renault et le géant chinois Alibaba.
Info Caradisiac. Alors que les nouvelles contraventions "pour non dénonciation" sont suspectées d'être illégales, que la jurisprudence tarde malheureusement à s'élaborer tant les affaires sont envoyées au compte-gouttes devant les tribunaux, les officiers du ministère public, eux-mêmes en charge des poursuites dans ce type d'affaires, et directement responsables du peu de dossiers présentés aux juges, viennent de recevoir pour consigne de valider les majorations. Toutes les amendes initiales - au montant déjà bien salé de 450 euros, en cas de paiement rapide - qui n'ont ainsi été ni contestées ni réglées dans les temps sont majorées à… 1 875 euros ! Si ces amendes forfaitaires majorées (AFM) ne sont pas encore arrivées dans les entreprises, elles ne sauraient tarder.
Deux barres symboliques ont été franchies par Dacia : la première, nous vous en parlions récemment avec le million de ventes en France. La seconde est tombée à l'occasion du salon de Genève : depuis 2004 et l'arrivée de la Logan, Dacia a écoulé cinq millions de véhicules en Europe.
Un responsable de Volkswagen l'a confirmé au Salon de Genève : il n'y aura pas de troisième réinterprétation moderne de la Coccinelle.
Nous apprenions récemment une donnée inattendue : Tesla était devant les leaders historiques du segment des grandes berlines en Europe. En France, aussi, le constructeur américain a fait mieux que Mercedes, Audi ou BMW avec sa Model S. Le malus, les taxes sur les voitures de société et autres primes pénalisantes n'ont certainement pas été étrangers à ce revirement.
Si on avait encore quelques doutes au sujet de la mainmise chinoise sur Daimler, le patron du groupe fleuron de l’industrie allemande les a dissipés. Dieter Zetsche, président du directoire, a en effet commenté l’arrivée du président de Geely Li Shufu au capital du constructeur automobile allemand en précisant qu’à cette aune, toute alliance industrielle future dépendrait de l'accord de son partenaire chinois BAIC. En la circonstance, Daimler n’est donc plus maître de son destin.
C’est comme si une logique de guerre commerciale s’était enclenchée entre les États-Unis et certains pays du reste du monde. Dont ceux de l’Union Européenne. Une escalade qui trouve sa source le 1er mars, date à laquelle le président Donald Trump a annoncé des taxes de 25 % sur les importations d'acier et de 10 % sur celles d'aluminium pour défendre ces industries qu'il estime être stratégiques pour son pays.
C’est une stratégie maintenant bien rodée dite du « ballon d’essai ». Il s’agit de la redondance d’une idée formulée à chaque occasion médiatiquement donnée pour l’instiller dans les esprits qui finiront par l’analyser comme un fait acquis. On a vu ça avec les 80 km/h sur les routes secondaires, qu’il faut par ailleurs entretenir. Et pour ça, nos dirigeants ont pensé à mettre à contribution les transports routiers. La ministre des Transports, Élisabeth Borne, confirme qu’on en prend le chemin.
Il y a exactement une semaine, c’était stupeur et tremblement dans une Allemagne qui se réveillait de son week-end avec son fleuron Daimler devenu chinois. Une opération rondement menée par un certain Li Shufu, fondateur et président du chinois Geely, ambitieux et stratège qui par un montage savant s’était constitué une participation de 7,5 milliards dans Daimler. Synonyme d’actionnariat majoritaire. Un si beau coup qu’il faut maintenant rassurer…
Près de trente présidents de département ont écrit une lettre au premier Ministre pour lui demander d'abandonner la baisse de la limitation de vitesse, estimant qu'elle impactait directement les habitants des campagnes.
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