
Les lettres de Lucille de Seguins ont rendu chèvre la mairie de Nanterre en apportant de l’eau au moulin d’une contestation globale des habitants de l’avenue de Rueil. En cause, l’instauration d’une zone de stationnement payant qui n’offre pas de tarif résidentiel. Une bisbille qui dure depuis 2015 et qui a amené à des verbalisations contestées. À raison, si l’on en juge par cette décision de la juridiction administrative.