Ce week-end était le rendez-vous du 17ème Rand Auvergne, à Ambert dans le Puy de Dôme. On y a retrouvé les vedettes du trèfle lozérien. J'ai nommé Fabien Planet, Marc Germain, Emmanuel Albepart ou Mickael Pichon. Les pilotes sont partis samedi matin d'un terrain encore humide des pluies de la semaine.
Questionné sur le cas de James Toseland soumis au dilemme de poursuivre en Superbike avec un team au sommet ou sauter dans l'inconnu en Moto GP, le sympathique Texan a bien voulu son avis. Un avis autorisé puisque Colin Edwards vient d'un mondial Superbike qu'il a remporté par deux fois.
Sorti du circuit de Laguna Seca par le Moto GP, le mondial Superbike n'a plus droit de cité sur le sol des Etats-Unis depuis 2005. Une incongruité au regard de l'histoire sportive motocycliste d'un pays qui en pince pour son championnat national AMA Superbike, et qui ne retrouve vraiment de l'intérêt pour la discipline rivale que depuis la sacre deNicky Hayden.
Lorsque Takeo Fukui se déplace, ce n'est jamais pour rien. Et pour cause, le personnage n'est pas n'importe qui. C'est le grand boss de Honda. Il n'était prévu au départ que pour assister au Grand Prix de France de F. 1 à Magny Cours, où les performances des monoplaces frappées de son blason sont affligeantes.
Le championnat du monde de Supermoto faisait dimanche escale, à Alcarras, sous le soleil espagnol. Pendant que le Grand-Prix d'Angleterre grelottait sous la pluie, c'est donc sous de très fortes chaleurs que le public s'est déplacé en masse. On comptait près de dix milles spectateurs.
Si certains pensent que la semaine du R1 est de loin la meilleure de la rubrique Moto & Sexy, que vont-ils pouvoir écrire s'agissant de ce supplément sport de cette série ? A mon avis ils vont chopper un sourire jusque là, tout comme notre blonde mannequin qui semble être ravie de poser en compagnie de cette YZF R1 de Superbike.
« On ne peut pas se contenter de fermer les yeux et se dire qu'il n'y a que Honda. D'autres options sont possibles. On ne peut fermer aucune porte. » Par ses mots, Dani Pedrosa a étonné et agité le landernau du Moto GP.
La défaite lors de la bataille d'Angleterre a fait du mal au moral de Rossi qui en a pourtant vu d'autre. Le débriefing d'après Grand Prix a été, selon les observateurs, plus long qu'à l'accoutumée, pour un diagnostic sans appel du « Doctor » sur ses chances de conquérir encore le titre : « C'est sûr que pour moi c'est plus difficile cette année.
Qu'il pleuve ou qu'il fasse soleil, que ça tourne ou que la piste soit linéaire, le verdict semble souvent le même depuis le début de la saison. C'est Stoner qui termine sur la plus haute marche du podium, avec une GP7 décidément bien affûtée et bien montée en gommes nippones.
Une Yamaha sur le podium mais pas celle que l'on attendait. C'est Colin Edwards qui se rappelle au bon souvenir d'un employeur qui, sans faire la fine bouche, aurait quand même préféré y voir son champion de Rossi. Un Rossi qui aura décidément fort à faire cette année avec un certain Stoner.
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