Quels seront les anniversaires à célébrer en 2023 ? En voici un premier que nous vous suggérons pour remonter aux racines des Art Cars.
Voici 90 ans, en 1933, Bugatti se sauvait d’une faillite probable en inventant l’un des précurseurs du TGV : l’Autorail, un engin ferroviaire révolutionnaire qui battra une pléthore de records.
Fabriquée tout en aluminium et dotée d’un 12-cylindres atmosphérique allié à une transmission intégrale, l’A8 W12 exhibe une fiche technique exceptionnelle. Ce majestueux vaisseau-amiral frôlant déjà les vingt ans s’offre pour le prix d’une Dacia Sandero optionnée : de quoi se laisser tenter, mais gare à l’entretien.
C’est le moment d’acheter sa décapotable, avant que les cours ne remontent aux beaux jours. Alliant style et exclusivité, la Fiat et la MG constituent des offres originales et peu onéreuses. Mais elles ne s’adressent pas au même public.
Stylé et performant grâce à son V6 musical, le SLK R171 incarne un type de Mercedes voué au plaisir qui n’existe plus actuellement. Tour à tour coupé ou cabriolet, il se montre polyvalent sans pour autant coûter très cher, mais il n’est pas sans faiblesses…
Il fut en temps ou les édiles parisiens, et la presse, considéraient que les chevaux polluaient plus que les autos, à cause de leur crottin. Dans un article du Figaro de février 1907, un journaliste saluait la décision préfectorale consistant à réserver les voies centrales des Champs-Élysées aux automobiles, reléguant les hippomobiles sur les bas cotés.
Dotée d’un gros V6, relativement légère et armée d’un châssis de premier ordre, cette Xantia peut défier des rivales bien plus réputées qu’elle, en toute discrétion. Luxueuse en finition Exclusive, elle symbolise cette époque où les françaises réussissaient à monter en gamme...
Tout le monde a oublié celle qui est devenue la citadine la plus vendue de son époque. Une injustice à laquelle il s’agit de remédier car objectivement, la Fiat Uno demeure la meilleure voiture du monde. Même si elle a pratiquement disparu de nos rues.
En 1974, la dictature communiste a commandé 1 000 Volvo 144 d'une valeur totale de 37 millions de dollars. Une somme que la Corée du Nord n'a jamais voulu régler au constructeur suédois. Récit d'une embrouille diplomatico-commerciale et diplomatique. Ou, plus simplement, d'une escroquerie.
Il y a cent ans, une usine dédiée à la production d’automobiles devenait un jalon dans l’histoire de l’architecture.
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