Sorte de super-GTI avec son V6 3,2 l et sa transmission intégrale, la version R32 transforme la Golf en une voiture d’exception. Proposée en générations IV et V, elle se déniche en bel état dès 10 000 € mais son prix grimpe pour les plus beaux exemplaires.
Vous ne le saviez peut-être pas, mais AC Cars, qui est à l'origine de la Cobra, est toujours bien vivant au Royaume-Uni. Mieux encore : le petit fabricant annonce une Cobra convaincue et convertie à la fée électrique.
Avec son dessin avant-gardiste et son moteur central, la Fiat X1/9 a tous les attributs d’une voiture de sport, sauf un : le moteur. Pourtant, légère et fine, elle offre des performances très décentes et son prix demeure intéressant. Aujourd’hui, on dégotte un exemplaire correct dès 6 000 €.
Si le design est né en Amérique du Nord dans les années 1930, c’est à un Français que l’on doit son importation en Europe. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Philippe Charbonneaux a donné au métier de styliste une nouvelle dimension.
Le CNPA annonce la création de nouveaux CQP (Certificat de qualification professionnelle) adaptés spécifiquement au monde de la voiture de collection : "Mécanicien réparateur de véhicules anciens et historiques" et "Tôlier véhicules anciens et historiques".
La firme italienne Alfa Romeo célèbre avec fierté ses 110 bougies. Son musée basé à Arese reçoit pour l'occasion une exposition spéciale montrant des véhicules toujours plus rarissimes.
Dotée du meilleur de la technologie du Groupe Fiat, la Lancia Thesis a pourtant été un échec commercial. La faute principalement à une ligne baroque, qui devient plus intéressante à mesure que les années défilent. Aujourd’hui, ce sublime ratage commercial n’est pas cher, dès 3 000 €.
Quinze ans après l’arrêt de la MGB, la MGF relance le roadster à l’anglaise, sans pour autant céder au néo-rétro. Techniquement intéressante avec son moteur central, elle rencontre un joli succès, de sorte qu’on la trouve aisément en occasion, et à prix attractif qui plus est.
Après les Trente Glorieuses, l’automobile va connaître un revers particulièrement sévère à la suite de deux chocs pétroliers consécutifs.
Baroud d’honneur du haut de gamme aux chevrons, la C6 n’a pas trouvé son public en neuf. Mais sa ligne, sa suspension et son caractère lui valent aujourd’hui d’être recherchée, à condition d’être en parfait état ; du coup, sa valeur ne baisse plus. Un bon moyen de rouler façon ministre sans avoir à lever des impôts…
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