Il s'est présenté comme le prétendant pour un titre 2016 en Moto3 qui ne sera pas facile à décrocher. Et d'abord parce que l'office devra se faire avec une KTM qu'il découvre seulement. Celui-là est un Fabio Quartararo qui a connu son premier contact avec la machine autrichienne sur le tracé de Montmélo.
André Lecondé
Lui écrireOn ne va pas vous la jouer sur l’air vantant que c‘était mieux avant, même si une pointe de nostalgie s’est lovée dans notre quotidien au sortir du salon Retromobile. Non, ce serait trop simple et réducteur. Disons qu’avant, c’était différent. Ceci dit, il est des études d’opinion qui ont tendance à démontrer que le passé n’était pas si attardé et que l’évolution ne s’est pas faite dans le même sens pour tout le monde. Ainsi cette approche sur un entretien automobile qui s’est apparemment caractérisé par la hausse des tarifs de ses prestations.
C'est un couple qui dure déjà depuis 20 ans. Et apparemment, cela se passe bien puisque les parties prenantes ont décidé de prolonger encore leur liaison. Celles-là sont le championnat WSBK et la chaire Eurosport qui ont décidé de poursuivre leur travail commun jusqu'en 2019.
La relève de la vaillante CBRR en version 1 000cc ne se fera sans doute plus trop attendre. Il faut dire que Honda lui a fait tenir la position de la sportive de la gamme jusqu'aux dernières cartouches. Face à la grosse artillerie ZX-10R de chez Kawasaki et R1 de chez Yamaha, le tout en attendant le nouveau missile de Suzuki, il ne lui restait plus que sa baïonnette pour faire face.
Il y a quelques semaines, le groupe automobile français PSA se réjouissait à juste titre de pouvoir réinvestir un marché iranien qui en pince pour ses produits. A cause d’un embargo international, Peugeot avait dû faire ses bagages d’Iran précipitamment. Un départ qui remonte en 2012 et peut-être un peu trop précipité. Ainsi, si les Iraniens veulent faire des affaires, ils ont aussi de la mémoire. A un point tel que l’on apprend que le blason tricolore a dû s’acquitter des indemnités pour revenir en grâce.
Les anciennes d’un Salon Rétromobile qui bat son plein en rient encore. Elles qui se lovaient dans le cambouis et se parfumaient d’effluves d’essence et d’huile ont été toisées par une nouvelle génération à la propreté clinique et à l’insonorisation aboutie. La mécanique s’est asservie à l’électronique, le bleu de travail a cédé sa place à la blouse blanche, la clé de douze à l’ordinateur portable. Pour un monde meilleur, sans défaut ? C’est tout le contraire. Le monde croule sous les rappels techniques et les constructeurs payent la facture.
Cette semaine, Mercedes a annoncé ses excellents résultats financiers dans une période troublée par le scandale Volkswagen et le relatif ralentissement de l’économie chinoise. Une réussite qui aurait dû être logiquement saluée par des places boursières que l’on voyait prêtes à cajoler l’action de l’étoile. Pourtant, c’est tout le contraire qui s’est produit. Pourquoi ? Il faut croire que le poids des mots compte plus que la réalité des chiffres.
Il était venu en Malaisie pour faire rouler la Ducati et roder les nouvelles pièces en donnant son avis. Il a quitté Sepang après avoir fait forte impression, se classant dans le top 5 du troisième et dernier jour des premiers tests de l'année qui réunissait tout le gratin mondial.
Vous l’aurez sans aucun doute remarqué, notre époque est comme un précipité instable. Les repères se floutent, les discours officiels sont de moins en moins audibles, et les valeurs autrefois les plus établis vacillent. Là-dessus, on constate une volonté de réformer des sujets dont on cherche encore la véracité. Jusqu’à tout mélanger. Prenez par exemple la dernière qui a traversé comme un météore l’actualité : celle de l’orthographe.
La saison 2016 du MotoGP n'a pas encore commencé que, déjà, chez Yamaha, on tire des plans sur la comète pour 2017 et suivant. Il faut dire que gouverner c'est prévoir et que la fin de la présente année verra pas mal de pilotes sur le marché. Alors il faut faire des choix. Lin Jarvis a fait le sien : Jorge Lorenzo.