La fin de carrière d'une auto est parfois synonyme de remises importantes. C'est d'autant plus le cas sur les voitures sportives et à grammage de CO2 défavorable. La Nissan 370Z est justement en ce moment même à 22 143 € neuve chez un mandataire bien connu dans l'Hexagone. Même avec l'important malus, cela reste une belle affaire.
C’est un nouveau départ pour Nissan sur un marché domestique qui ne lui a pas fait de cadeau cette année. En octobre, les ventes de ses véhicules au Japon se sont effondrées de 43,3 % sur un an, à 19 438 unités, tous gabarits confondus. Il faut dire que sa réputation a été sérieusement écornée par cette affaire de mauvaises pratiques de certification pour les voitures destinées à son marché intérieur. Un écueil pointé du doigt par les inspecteurs du ministère des Transports japonais et qui avait conduit à la décision historique d’arrêter toutes les chaînes de production sur le son de l’empire du soleil levant. Depuis aujourd’hui, elles vont reprendre du service.
Le "premier" pick-up premium selon Mercedes est le Classe X, mais le groupe Volkswagen ne l'entend pas de la sorte puisque Volkswagen propose effectivement l'Amarok dans une version V6 bien dotée depuis déjà un bout de temps. Le groupe ne s'est d'ailleurs pas gêné pour piquer un peu son concurrent et le lui rappeler.
C’est une opaque affaire de certification pour le marché intérieur japonais qui met actuellement à mal une industrie automobile nippone qui aurait aimé oublier un moment ses errements sous l’auvent de son Salon de Tokyo. Le « made in Japan » n’est plus ce qu’il était ni même la discipline d’entreprise à l’aune des errements d’un secteur qui a fait la réputation contemporaine de l’empire du soleil levant. Au fracas de l’effondrement de l’empire Takata aux airbags meurtriers succèdent les craquements du reste de l’édifice. L’enseigne Kobe Steel tangue et Nissan colmate ses brèches mais voilà que Subaru vacille à son tour.
Que se passe-t-il donc au Japon ? Entre une enseigne Takata qui s’est effondrée sur elle-même après que ses errements aient lézardé un édifice qui semblait indestructible, après une affaire Kobe Steel en pleine révélation sur des qualités de produits falsifiées posant question sur la sécurité, voici le cas Nissan. Qui, apparemment, n’arrive pas à se faire entendre chez lui. Après l’idée ébranlée d’une belle qualité « made in Japan », voici la surprise de constater une discipline japonaise pourtant légendaire mise à mal. Pour le constructeur automobile, la facture ne va pas être anodine puisqu’il annonce suspendre la production de ses véhicules destinés au marché nippon dans toutes ses usines au Japon.
Le nouveau Gran Turismo Sport approche à grand pas puisque la sortie est prévue pour le 18 octobre prochain. Pour promouvoir le jeu, Nissan, partenaire historique de la franchise virtuelle, a fait tourner une GT-R télécommandée sur circuit par une manette de console Playstation 4. Un jouet radiocommandé à plus de 100 000 €.
Il faut bien le reconnaître, cette auto là n'a plus grand chose en commun avec une Nissan GT-R d'origine. L'intérieur a été dépouillé, les trains roulants sont spécifiques, le parachute est là pour stopper la fougue et le V6 est passé de 570 à... 3000 ch. Le résultat est un record d'accélération stupéfiant pour une GT-R.
A force de tout raccourcir et de faire des "hashtags" compacts, la ponctuation s'en retrouve supprimée et cela peut mener à des situations insolites. C'est le cas ici où le compte officiel Twitter de Nissan India fait la promotion d'un "autre record légendaire" de la GT-R. Il s'agit malheureusement de la mauvaise GT-R.
Nissan participera cet été au rallye de Mongolie avec une auto très particulière. La firme japonaise a en effet retenu pour l'épreuve sa compacte électrique fétiche Leaf. L'auto a bien entendu reçu une multitude de modifications pour l'occasion.
Les Partner, Trafic ou Mégane break de nos forces de l'ordre ne font pas rêver. Reconnaissons une chose : ce n'est pas vraiment leur but. Les voitures de police ou gendarmerie sont choisies avec la raison et non la passion ! Et il en est de même dans le reste du monde. Mais parfois, il y a des exceptions : les patrouilles peuvent être effectuées à bord de montures qui sortent de l'ordinaire. La preuve avec ces dix modèles.
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