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Commentaires - L'accident du Mans 1955 entre tragédie nationale et tabou familial

Michel Holtz

L'accident du Mans 1955 entre tragédie nationale et tabou familial

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Normal de continuer la course et jouer de l'accordéon, comme bien expliqué sous un autre article ce sont les trente glorieuses, tout pour la voiture, époque bénie.

Par

En réponse à V90T8

Normal de continuer la course et jouer de l'accordéon, comme bien expliqué sous un autre article ce sont les trente glorieuses, tout pour la voiture, époque bénie.

   

À l'époque on en faisait pas des caisses on acceptait le destin et continuait de vivre à 200%

Par

En avance de 8 mois sur le calendrier, incongru.

Par

En réponse à V90T8

Normal de continuer la course et jouer de l'accordéon, comme bien expliqué sous un autre article ce sont les trente glorieuses, tout pour la voiture, époque bénie.

   

Une explication pour le grand prix de Saint Marin 94 ?

Par

En réponse à V90T8

Normal de continuer la course et jouer de l'accordéon, comme bien expliqué sous un autre article ce sont les trente glorieuses, tout pour la voiture, époque bénie.

   

Autre époque, autres moeurs...

Il a fallu passer par ce genre de tragédie pour faire exister la sécurité sur les circuits, mais aussi sur les routes.

 

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Par

En réponse à Jetstream

Une explication pour le grand prix de Saint Marin 94 ?

   

"Les Trente Glorieuses sont la période de forte croissance économique et d'augmentation du niveau de vie qu’a connue la grande majorité des pays développés entre 1945 et 1975"

A votre service.

Par

Les organisateurs de l’époque avaient expliqué que l’arrêt de la course aurait entraîné le départ des spectateurs sur la route , gênant ainsi la circulation des ambulances .

Par

Lance MACKLIN, sur sa Healey, sûrement occupé à surveiller dans ses rétros la venue en trombe de Juan-Manuel FANGIO, et des équipages de tête en général, n' a pu réagir à temps lors du freinage de la Jaguar de Mike HAWTHORN : il n' a pu qu' avoir le réflexe de se déporter sur l' autre moitié de la route , provoquant ainsi l' accident fatal .

L' épreuve n' a pas été arrêtée pour laisser aux secours de faire leur travail sans être gênés pas la cohue qu'aurait provoqué l' évacuation des spectateurs .

Par

c était pas le mec à la jaguar à gauche de la piste qui coupe la route pour rentrer au stand au dernier moment :voyons:

Par

En réponse à 47ronins

c était pas le mec à la jaguar à gauche de la piste qui coupe la route pour rentrer au stand au dernier moment :voyons:

   

oui c était bien ça !, l abruti de la jaguar double l austin et lui coupe la route en freinant pour rentrer au stand

comment le gars responsable de l accident par son comportement dangereux n ai pas été inquiété ? pire le mec est acclamé car victorieux...

Par

En réponse à 47ronins

oui c était bien ça !, l abruti de la jaguar double l austin et lui coupe la route en freinant pour rentrer au stand

comment le gars responsable de l accident par son comportement dangereux n ai pas été inquiété ? pire le mec est acclamé car victorieux...

   

Car c'était le risque du métier quand on s'engageait en course à l'époque

Par

En réponse à deville70

Autre époque, autres moeurs...

Il a fallu passer par ce genre de tragédie pour faire exister la sécurité sur les circuits, mais aussi sur les routes.

   

La sécurité a été (et est toujours dans certains domaines) vu comme un cout, un truc chiant qui sert à rien et qui fait partie des premiers sacrifiés quand on cherche les économies.

Les avancées interviennent uniquement qu'après des problèmes / accidents / drames ... et à leur époque, fallait être à moitié suicidaire pour rouler à fond dans ces cercueils roulants.

La mort faisait partie du deal et du spectacle ... 1949, 1951, 1953, 1955, 1956, 1958, ... les décès aux 24h du Mans étaient pas rares, encore plus à l'époque pré Ickx (1969) ou les départs type "Le Mans" avec une ceinture non attachée au début pour gagner du temps étaient la norme.

Par

En réponse à 360Magnum

À l'époque on en faisait pas des caisses on acceptait le destin et continuait de vivre à 200%

   

Sauf les morts, bien entendu.

Par

En réponse à Aznog

La sécurité a été (et est toujours dans certains domaines) vu comme un cout, un truc chiant qui sert à rien et qui fait partie des premiers sacrifiés quand on cherche les économies.

Les avancées interviennent uniquement qu'après des problèmes / accidents / drames ... et à leur époque, fallait être à moitié suicidaire pour rouler à fond dans ces cercueils roulants.

La mort faisait partie du deal et du spectacle ... 1949, 1951, 1953, 1955, 1956, 1958, ... les décès aux 24h du Mans étaient pas rares, encore plus à l'époque pré Ickx (1969) ou les départs type "Le Mans" avec une ceinture non attachée au début pour gagner du temps étaient la norme.

   

Les pilotes étaient des héros, des seigneurs qui acceptaient le risque de mourir pour leur passion.

Enfin...jusqu'à un certain point.

Parce de très grands pilotes comme Lauda ou Prost se sont souvent rebellés contre le manque de sécurité des circuits.

Il faut se souvenir qu'à cette époque, et jusqu'au début des années 70, les seules protections sur certains circuits en cas de sortie de piste étaient des bottes de paille !!!

Et la conception des voitures faisait qu'en cas de choc, le pilote était CERTAIN de rester bloqué dans sa voiture en feu.

On est passé des pilotes "gladiateurs" aux pilotes "robot sans panache".

C'est un choix. Cohérent avec notre modèle de société ultra protectrice....

Par

En réponse à beniot9888

Sauf les morts, bien entendu.

   

La mort, ils l'acceptaient. Elle faisait même partie de leur vie.

Une façon d'être "encore plus en vie" que les autres.

Evidemment incompréhensible pour le mollusque de base qui va tous les matins au bureau.

Et que je sache, on n'obligeait personne à monter dans un baquet de F1 !!

Par

En réponse à franpir21

Les pilotes étaient des héros, des seigneurs qui acceptaient le risque de mourir pour leur passion.

Enfin...jusqu'à un certain point.

Parce de très grands pilotes comme Lauda ou Prost se sont souvent rebellés contre le manque de sécurité des circuits.

Il faut se souvenir qu'à cette époque, et jusqu'au début des années 70, les seules protections sur certains circuits en cas de sortie de piste étaient des bottes de paille !!!

Et la conception des voitures faisait qu'en cas de choc, le pilote était CERTAIN de rester bloqué dans sa voiture en feu.

On est passé des pilotes "gladiateurs" aux pilotes "robot sans panache".

C'est un choix. Cohérent avec notre modèle de société ultra protectrice....

   

Ne pas mélanger une règlementation technique castratrice couplée à une BoP "école des fans" re-couplée à des courses où le pilote est en contact permanent avec son équipe, ses ingés qui scrutent la télémétrie en temps réel pour lui dire sur quelle cartographie passer, ... et des obligations sécuritaires que ce soit au niveau des véhicules ou des circuits.

C'est pas parce que Jean-Claude Durant a lâché ses 40 balles mensuelles à ShitTV (qui a acquis les droits de retransmission) qu'il a le droit de voir des cartons mortels, des gars brulant vifs dans leur bagnole ou des estropiés rescapés de crashs :bah:

Le course qui se rapproche plus de "l'ancienne époque" doit être les 24h du Nurb de part le côté sécuritairement archaïque du circuit à l'organisation quasi amateure de l'épreuve (plateau hétérogène, réglementation technique minimale, ...).

Par

En réponse à 47ronins

oui c était bien ça !, l abruti de la jaguar double l austin et lui coupe la route en freinant pour rentrer au stand

comment le gars responsable de l accident par son comportement dangereux n ai pas été inquiété ? pire le mec est acclamé car victorieux...

   

Mike HAWTHORN était en pleine bataille avec Juan-Manuel FANGIO . Il n' allait pas rester derrière le véhicule lent de Lance MACKLIN . Et pourquoi pas une faute pour ne pas avoir mis son clignotant ?

Par

En réponse à franpir21

La mort, ils l'acceptaient. Elle faisait même partie de leur vie.

Une façon d'être "encore plus en vie" que les autres.

Evidemment incompréhensible pour le mollusque de base qui va tous les matins au bureau.

Et que je sache, on n'obligeait personne à monter dans un baquet de F1 !!

   

Merci j'ajouterais que les morts ne parlent pas et n'ont pas d'avis à donner.

Par

En réponse à 47ronins

oui c était bien ça !, l abruti de la jaguar double l austin et lui coupe la route en freinant pour rentrer au stand

comment le gars responsable de l accident par son comportement dangereux n ai pas été inquiété ? pire le mec est acclamé car victorieux...

   

Ils me font rire les gens qui balancent toute la responsabilité sur Hawthorn. C’est cruellement manquer de contexte. Bien sûr que sa manœuvre était trop ambitieuse, mais à un moment donné, faut s’imaginer la situation. Vous êtes le lièvre de la seule marque capable de battre Mercedes (encore considérés comme des sales boches à l’époque) sans espérer de souci car les Aston Martin et Ferrari étaient un peu en retrait cette année. Vous pensez vraiment que dans cette bataille qui vous oppose au grand Fangio que vous allez vous dire "je vais pas doubler la Healey car je sais qu’elle freine moins fort" dans le feu de l’action? Certainement pas. Tous les grands pilotes font des grosses erreurs dans des manœuvres trop audacieuses et l’infrastructure de sécurité catastrophique du circuit a fait payer le prix fort de cette manœuvre trop ambitieuse à plus de 80 personnes.

Non, là où le comportement de Hawthorn était inadmissible, c’était la joie de sa victoire dans la bonne humeur le lendemain.

Par

C'était souvent les mort sur les bord des pistes a cette époque...les circuits de F1 sur les routes de campagne avec autant de monde que l'époque de groupe b

Par

En réponse à Sage Centenaire

Ils me font rire les gens qui balancent toute la responsabilité sur Hawthorn. C’est cruellement manquer de contexte. Bien sûr que sa manœuvre était trop ambitieuse, mais à un moment donné, faut s’imaginer la situation. Vous êtes le lièvre de la seule marque capable de battre Mercedes (encore considérés comme des sales boches à l’époque) sans espérer de souci car les Aston Martin et Ferrari étaient un peu en retrait cette année. Vous pensez vraiment que dans cette bataille qui vous oppose au grand Fangio que vous allez vous dire "je vais pas doubler la Healey car je sais qu’elle freine moins fort" dans le feu de l’action? Certainement pas. Tous les grands pilotes font des grosses erreurs dans des manœuvres trop audacieuses et l’infrastructure de sécurité catastrophique du circuit a fait payer le prix fort de cette manœuvre trop ambitieuse à plus de 80 personnes.

Non, là où le comportement de Hawthorn était inadmissible, c’était la joie de sa victoire dans la bonne humeur le lendemain.

   

sur une course d endurance de 24h , et à 19h de la fin de la course Monsieur , doubler et faire une queue de poisson pour rentrer au stand, c est une énorme faute professionnelle...

Par

En réponse à Aznog

Ne pas mélanger une règlementation technique castratrice couplée à une BoP "école des fans" re-couplée à des courses où le pilote est en contact permanent avec son équipe, ses ingés qui scrutent la télémétrie en temps réel pour lui dire sur quelle cartographie passer, ... et des obligations sécuritaires que ce soit au niveau des véhicules ou des circuits.

C'est pas parce que Jean-Claude Durant a lâché ses 40 balles mensuelles à ShitTV (qui a acquis les droits de retransmission) qu'il a le droit de voir des cartons mortels, des gars brulant vifs dans leur bagnole ou des estropiés rescapés de crashs :bah:

Le course qui se rapproche plus de "l'ancienne époque" doit être les 24h du Nurb de part le côté sécuritairement archaïque du circuit à l'organisation quasi amateure de l'épreuve (plateau hétérogène, réglementation technique minimale, ...).

   

Le circuit qu'on surnomme "le cimetière" ?

Par

En réponse à 360Magnum

Merci j'ajouterais que les morts ne parlent pas et n'ont pas d'avis à donner.

   

Ces commentaires sont ridicules, il s'agit ici de la mort de 80 spectateurs et non de celle d'un gladiateur.

Par

En réponse à Hcc1

Ces commentaires sont ridicules, il s'agit ici de la mort de 80 spectateurs et non de celle d'un gladiateur.

   

Et alors ? C'est également le risque a cette époque de se prendre une voiture comme en groupe b les gens étaient conscients du danger et l'acceptaient sinon ils restaient chez eux.

Par

Comme au cirque, le spectacle continue. Depuis il y a eu d'autres tragédies.

La tradition est respectée et il ne faut pas utiliser les sensibilités de 2024 pour juger les décisions de 1955.

Par

En réponse à franpir21

Le circuit qu'on surnomme "le cimetière" ?

   

Jamais entendu ce surnom ... "l'enfer vert" plutôt ... mi circuit, mi route à péage.

Lieu à la sécurité archaïque où les erreurs sont souvent suivies de leur sanction.

Tu rajoutes à ça un plateau hétéroclite allant de la supercar de course (GT3) à la Dacia Logan en passant par des vieilles BM coursifiées des années 90.

Tout ce beau monde tournant pendant 24h sur un circuit, en pleine foret ou le climat est très aléatoire (pluie, brouillard, ...).

Par

En réponse à 360Magnum

Et alors ? C'est également le risque a cette époque de se prendre une voiture comme en groupe b les gens étaient conscients du danger et l'acceptaient sinon ils restaient chez eux.

   

En tribune en ligne droite on pouvait penser qu'on prenait moins de risques qu'à l'extérieur d'un virage pour regarder un rallye. Cet accident est resté dans les mémoires à cause des spectateurs morts ou blessés et non du décès d'un pilote. 1955 est différent de 2024, certes, des choses sont à regretter mais pas systématiquement... En revanche continuer la course était sans doute la décision la plus rationnelle mais pas pour "le panache du spectacle".

Par

En réponse à 47ronins

oui c était bien ça !, l abruti de la jaguar double l austin et lui coupe la route en freinant pour rentrer au stand

comment le gars responsable de l accident par son comportement dangereux n ai pas été inquiété ? pire le mec est acclamé car victorieux...

   

Si responsable il y a , c' est plutôt Lance MACKLIN qui n' a pas réagi à temps, occupé à regarder dans ses rétros .

Par

En réponse à Salva

Si responsable il y a , c' est plutôt Lance MACKLIN qui n' a pas réagi à temps, occupé à regarder dans ses rétros .

   

Avec sa citadine ?

Par

En réponse à Aznog

Jamais entendu ce surnom ... "l'enfer vert" plutôt ... mi circuit, mi route à péage.

Lieu à la sécurité archaïque où les erreurs sont souvent suivies de leur sanction.

Tu rajoutes à ça un plateau hétéroclite allant de la supercar de course (GT3) à la Dacia Logan en passant par des vieilles BM coursifiées des années 90.

Tout ce beau monde tournant pendant 24h sur un circuit, en pleine foret ou le climat est très aléatoire (pluie, brouillard, ...).

   

un lien, juste pour clore un débat précédent:

https://www.air-journal.fr/2024-10-06-iata-le-fret-aerien-a-son-neuvieme-mois-consecutif-de-croissance-a-deux-chiffres-en-aout-5258400.html

Par

En réponse à Jetstream

Une explication pour le grand prix de Saint Marin 94 ?

   

1955 est une époque. 1994 en est une autre tout simplement. En presque 40 ans cela a évolué énormément.

Par

En réponse à hyvo

1955 est une époque. 1994 en est une autre tout simplement. En presque 40 ans cela a évolué énormément.

   

On compare 82 morts dans le public avec quoi au juste ? Il faut juste rien piger au drame de 1955 pour renvoyer à 1994. :pfff:

Par

En réponse à franpir21

La mort, ils l'acceptaient. Elle faisait même partie de leur vie.

Une façon d'être "encore plus en vie" que les autres.

Evidemment incompréhensible pour le mollusque de base qui va tous les matins au bureau.

Et que je sache, on n'obligeait personne à monter dans un baquet de F1 !!

   

Et personne n'était triste, d'ailleurs ! On enterrait le corps, le curé faisait son prêchiprêcha et pis on rentrait chez soi pour préparer le dîner. Et vider l'armoire du mort, pour voir ce qui pouvait encore servir.

Le deuil, les trucs comme ça, c'est des inventions récentes. C'est la faute à tiktok.

Par

Après les horreurs de la guerre, on était pis à quelques morts près ! The show must go on comme on dit aux states . Aujourd'hui, on ne supporte plus le risque , les temps changent.

Par

En réponse à hyvo

1955 est une époque. 1994 en est une autre tout simplement. En presque 40 ans cela a évolué énormément.

   

Là n'est pas la question, si les 24 H ont continués parce que c'étaient les trente glorieuses et autres fadaises, pourquoi le grand prix de Saint-Marin en 94(2 pilotes morts, des blessés dans les tribunes et pour finir des mécanos qui se font shooter) à continuer ?

Par

En réponse à Jetstream

Là n'est pas la question, si les 24 H ont continués parce que c'étaient les trente glorieuses et autres fadaises, pourquoi le grand prix de Saint-Marin en 94(2 pilotes morts, des blessés dans les tribunes et pour finir des mécanos qui se font shooter) à continuer ?

   

Ah d'accord, c'est donc bien ça, vous comparez 2 pilotes morts, alors que le risque fait partie du métier (à la clef salaire mirobolant), avec 82 spectateurs innocents morts sans avoir rien demandés...

Par

En réponse à JJCVDM

Avec sa citadine ?

   

La notion de citadine en aura traumatisé plus d' un ici ...

Par

Le rapprochement qu'on fait peu, et pourtant, c'est que ce jour funeste est aussi celui qui a bâti le mythe Ferrari. Le retrait de Mercedes, qui écrasait la F1 et allait l'écraser pendant encore longtemps, a laissé la place à Ferrari. Sans ce triste épisode c'est Mercedes qui serait la légende du sport auto, pas Ferrari.

Par

En réponse à baooobab

Le rapprochement qu'on fait peu, et pourtant, c'est que ce jour funeste est aussi celui qui a bâti le mythe Ferrari. Le retrait de Mercedes, qui écrasait la F1 et allait l'écraser pendant encore longtemps, a laissé la place à Ferrari. Sans ce triste épisode c'est Mercedes qui serait la légende du sport auto, pas Ferrari.

   

Source: ma boule de cristal.

Par

En réponse à baooobab

Le rapprochement qu'on fait peu, et pourtant, c'est que ce jour funeste est aussi celui qui a bâti le mythe Ferrari. Le retrait de Mercedes, qui écrasait la F1 et allait l'écraser pendant encore longtemps, a laissé la place à Ferrari. Sans ce triste épisode c'est Mercedes qui serait la légende du sport auto, pas Ferrari.

   

C' est à cette époque que Ferrari, en faillite, a reçu les monoplaces Lancia qui étaient pour le coup salvateur pour Ferrari . Peut-être que sans cet apport, Ferrari aurait mit fin à la Scuderia ?

Par

En réponse à Salva

La notion de citadine en aura traumatisé plus d' un ici ...

   

On rit de vos sottises serait plus juste :cubitus:

 

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